COVID-19 : Les téléconsultations, une solution pour le suivi médical
La Fondation Lenval développe une solution de téléconsultation médicale. Pour répondre aux besoins des familles, le professeur Lisa Giovannini-Chami et les équipes de la direction des services informatiques ont testé lundi « Avis2santé ». Ce logiciel permet au médecin, dans le cadre d’un suivi médical, d’assurer une consultation grâce à un poste informatique et au smartphone de la famille du patient.
Le médecin adresse par mail sur le smartphone de la famille un lien de connexion, et le parent n’a plus qu’à cliquer sur ce lien pour que son appareil se connecte au médecin via un appel téléphonique avec caméra activée. C’est, depuis lundi pour les consultations de médecine, une alternative efficace.
« C’est adapté et très facile d’usage. Ma prise en main a nécessité quelques minutes. J’ai pu contacter une famille sur Nice mais également une autre dans l’arrière-pays, avec un réseau plus faible sans aucune difficulté. Cette solution me permet d’assurer le suivi nécessaire à certaines pathologies, notamment les déficiences respiratoires. Une fois la consultation effective, j’adresse par mail l’ordonnance nécessaire au prolongement d’un traitement. » précise le professeur Lisa Giovannini-Chami, Pneumo-Allergologue de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval.
Ce mardi après-midi, une réunion d’information à tous les praticiens a été organisée afin de proposer cette solution pour assurer la continuité des soins. C’est également une ressource utile pour rassurer les parents dans chaque situation.
Cette solution est en effet conseillée, en cette période, dans le cas d’un suivi. Elle ne peut être envisagée pour une première consultation et ne pourra être utilisée qu’en alternance avec des consultations en face à face.
Toutefois, Arnaud Pouillart, directeur général de la Fondation Lenval qui avait déjà facilité cette solution pour des consultations en pédopsychiatrie depuis quelques mois pour des familles éloignées, tient à son développement rapide. « Aujourd’hui, nous déployons à une dizaine de médecins cette solution. Tous les professionnels qui souhaiteront ainsi répondre aux besoins des jeunes patients et de leur famille sont invités à essayer cette solution digitale. Les durées de consultation sont identiques et les retours de praticiens encourageants. »
Les établissements de la Fondation Lenval adaptent au jour le jour des mesures nécessaires à la situation sanitaire.
Toutes les consultations et les interventions qui ne sont pas obligatoires et/ou urgentes pour la bonne santé immédiate ont dû être reportées. Il est cependant important de maintenir avec les familles dont les enfants ou adolescents sont suivis, une qualité de soin. La téléconsultation permet d’y répondre.
COVID-19 : Parole d’expert, Diane Demonchy pédiatre infectiologue
Le COVID-19, est un virus. Il est apparu pour la première fois en décembre dernier à Wuhan en Chine. L’hôpital universitaire pédiatrique Lenval, a pris des mesures exceptionnelles pour renforcer ses mesures sanitaires, notamment en dissociant l’accès aux urgences pédiatriques des autres services (médecine, chirurgie, psychiatrie…)
Diane Demonchy, pédiatre infectiologue – Hôpital Universitaire Pédiatrique Lenval
« Le COVID-19 appartient à une grande famille de virus, les Coronavirus. Ils provoquent des maladies respiratoires comme le rhume.
Il n’est pas cependant pas de la même famille de virus que la grippe. »
Considérez-vous que c’est un virus très dangereux ?
Non, il n’est pas très dangereux, il est très contagieux. Ce virus a un taux de mortalité qui reste très faible. Il est dangereux pour les personnes fragiles: les gens âgés et/ou qui ont déjà d’autres maladies qui touchent leurs poumons.
Les enfants et le Covid-19 : une inquiétude réelle ?
« Depuis l’apparition du virus, on constate que les formes chez l’enfant ne sont pas graves. Les enfants, peuvent avoir très peu de symptômes et donc le transmettre sans qu’on s’en rende compte. D’où la nécessité de suivre des mesures d’hygiène comme se laver les mains régulièrement, tousser dans son coude et utiliser des mouchoirs à usage unique. Aujourd’hui la grippe saisonnière est encore en période épidémique et les enfants sont bien plus affectés par elle que par le COVID-19. »
Les mesures de prévention prises à Lenval :
Dans tous les services, sur l’ensemble des sites, les patients et leurs accompagnants qui se présentent avec des signes tels que toux et/ rhume sont invités à porter un masque pour protéger les autres. Des flacons de solution Hydroalcoolique sont également mis à disposition pour se laver régulièrement les mains.
« L’inquiétude et les mesures qui sont prises sont liées au fait qu’il se transmet très facilement. »
Pour toute question : 0800 130 000
Journée Interpro – L’enfant de la tête aux pieds, de la naissance à la marche
Les professionnels kinésithérapeutes et médecins de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval se mobilisent pour former et sensibiliser les praticiens libéraux à diverses pathologies de l’enfant.
Samedi 4 Avril 2020
L’objectif des journées interprofessionnelles organisées par la Fondation Lenval est notamment de développer une collaboration avec la médecine de ville pour améliorer la prise en charge des jeunes patients.
Le service de kinésithérapie organise sa nouvelle journée de formation interprofessionnelle le samedi 4 avril 2020, de 8 heures à 17 heures.
Les présentations porteront sur plusieurs thèmes dont : torticolis du nourrisson, plagiocéphalie, neurologie, troubles de l’oralité alimentaire du nourrisson… Afin de rendre les séquences dynamiques, elles seront assurées en binômes par un médecin et un kinésithérapeute.
INFOS PRATIQUES :
Entrée : 50€ (1) / 10€(2) ((1) les médecins, kinésithérapeutes et sages-femmes, (2) les internes et étudiants.)
Inscriptions : aurelie.ruzziconi@lenval.com.
COVID- 19 – Les urgences pédiatriques de Lenval mobilisées
L’hôpital universitaire pédiatrique Lenval prend des mesures exceptionnelles. En cette phase de préparation à une éventuelle épidémie de COVID-19, non déclarée à ce jour, la direction générale de la Fondation Lenval a souhaité renforcer les mesures sanitaires engagées dans le cadre du dispositif de santé publique en dissociant l’accès aux urgences pédiatriques des autres services (médecine, chirurgie, psychiatrie…).
C’est hier soir, lundi, après une réunion initiée par l’ARS, que la direction a engagé ces nouvelles mesures.
Depuis mi-janvier le dispositif de prise en charge appliqué comprend une zone d’hospitalisation dédiée et des mesures fortes de préventions dans les cas de risque infectieux.
Ce matin un circuit spécifique, distinct des urgences médicales et chirurgicales a été installé. Actif, dès la fin de matinée, ce sas d’accueil et d’orientation a été installé à l’entrée de l’accès pompier des urgences pédiatriques.
Les familles, adressées par le SAMU (112/15) sont invitées à se présenter via la rampe descendante. Sous une tente, juxtaposée à la deuxième porte du service, le personnel hospitalier accueille les familles afin de les orienter. Selon les symptômes et notamment les risques infectieux, les enfants, adolescents et leurs parents, sont d’abord équipés de masques puis dès l’accueil reçus dans des espaces distincts.
Par ailleurs, les mesures de prévention sont également affichées dans l’établissement depuis plusieurs semaines, mises à jour régulièrement. Elles seront également diffusées en anglais et en italien pour assurer le relai des mesures de prévention.
Le service des urgences de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval reçoit chaque jour plus de 200 patients. Les accidents comme les fractures, la grippe, la bronchiolite et la gastro-entérite demeurent les principales causes de consultation en cette période hivernale.
Coronavirus : information et consignes
Au retour d’une zone où circule le coronavirus et en cas de fièvre, de toux, de difficultés à respirer dans les 14 jours après le retour : Rester chez soi et contacter le Samu-Centre 15 en signalant ce voyage
Les coronavirus constituent une famille de virus, à l’origine chez l’Homme de maladies allant d’un simple rhume à des pathologies respiratoires graves.
Un nouveau coronavirus à l’origine d’infections pulmonaires a été détecté en Chine fin décembre 2019.e.
Les infections pulmonaires à coronavirus se transmettent par voie aérienne (postillons, toux..) lors d’un contact étroit et rapproché avec une personne malade.
Aucune transmission via des objets n’a été rapportée à ce jour.
Une personne est contagieuse uniquement à l’apparition des symptômes.
Au retour d’une zone où circule le coronavirus et en cas de fièvre, de toux, de difficultés à respirer dans les 14 jours après le retour : Rester chez soi et contacter le Samu-Centre 15 en signalant ce voyage
ARS – Visite du délégué départemental
Ce lundi 20 janvier, Romain Alexandre, délégué départemental de l’ARS (Agence Régionale de Santé) PACA accompagné par le docteur Guivarc’h médecin de l’ARS est venu aux urgences et à l’UHCD pour témoigner de son soutien aux équipes de soin mobilisées 24h/24 soulignant leur professionnalisme.
Enquête pour les besoins des personnes avec TSA…
Cette enquête est réalisée à la demande de la Délégation Interministérielle sur l’Autisme et de la Direction Générale de la Santé, dans le cadre de la Stratégie nationale autisme 2019-2022, mesure 56 « Création de dispositifs d’éducation thérapeutique du patient (ETP) avec TSA et de sa famille ».
L’objectif est d’élaborer des recommandations sur l’application de l’ETP dans le champ du TSA en France.
Cette enquête est réalisée au moyen d’un questionnaire en ligne (moins de 10 minutes), qui a pour objectif d’identifier les besoins des personnes avec TSA et de leurs aidants.
Il y a deux versions du questionnaire, une version pour les familles/aidants et une version pour les personnes avec TSA.
Merci de remplir uniquement celle qui vous concerne.
Questionnaire pour les aidants / familles :
http://sphinx.chu-montpellier.fr/SurveyServer/s/DQGR/Besoins_ETP_TSA-Aidants/questionnaire.htm
Questionnaire pour les personnes avec TSA :
http://sphinx.chu-montpellier.fr/SurveyServer/s/DQGR/Besoins_ETP_TSA-Patients/questionnaire.htm
Le docteur Jean-Luc CLEMENT confie la chirurgie orthopédique pédiatrique à son équipe
Jean-Luc Clément, chirurgien orthopédiste depuis 1993 à la Fondation Lenval est heureux et serein à la veille de son départ en retraite.
Après un début de carrière de 17 années comme praticien hospitalier au CHU de Toulouse, Jean-Luc Clément chirurgien Orthopédiste, aixois d’origine, a été recruté par la Fondation Lenval à l’occasion de la reconstruction de l’hôpital, il y a 26 ans.
D’un petit bureau avec une secrétaire pour les prises de rendez-vous, la chirurgie orthopédique pédiatrique de Lenval est aujourd’hui une unité, avec des spécialités reconnues et 6 praticiens en chirurgie orthopédique dont 4 à temps plein.
Le premier défi relevé par le Docteur Jean-Luc CLEMENT à Lenval : augmenter l’activité. Jusqu’alors l’orthopédie pédiatrique était peu développée, les patients se rendaient à Marseille. En quelques années, l’équipe s’est étoffée et « la scoliose », pathologie de haute technicité, est notamment devenue son domaine de prédilection.
Il a développé la chirurgie des scolioses grâce à la collaboration des anesthésistes, des pédiatres et des radiologues, sans oublier les neurophysiologistes qui ont investi le bloc opératoire pour assurer le monitoring peropératoire de la moelle épinière.
Le docteur Clément a développé une technique originale : ST2R pour « Simultaneous Translation on 2 Rods » avec mise au point d’implants et d’une instrumentation spécifique. C’est devenu un domaine d’expertise de l’Hôpital Universitaire Pédiatrique LENVAL.
De nombreux chirurgiens pédiatres ou du rachis de France et d’ailleurs sont venus assister à ces opérations. Avec pas moins de 500 interventions à son compte,Jean-Luc Clément est fier d’avoir accueilli ces médecins du monde « Ils sont plus d’une centaine, de France bien évidemment, mais aussi des Etats- Unis ou de Chine à être venus à Lenval pour me questionner sur les techniques d’opération que je pratiquais. »
Parallèlement la génétique apportera peut-être des réponses, c’est l’un des espoirs du Dr Clément, qui ne cessera pas de s’alimenter sur le sujet qui l’a passionné tant d’années, mais il y aura toujours des fractures pour les chirurgiens orthopédiques.
« J’ai parcouru le monde et visité beaucoup d’hôpitaux pédiatriques, Lenval est unique. C’est un cadre de travail absolument hors norme et fantastique. Si je suis resté à Lenval, c’est tout d’abord parce que c’est une structure à taille humaine. A la différence d’un CHU, j’ai apprécié de travailler en collaboration. La proximité avec la direction est une valeur incontestable et tellement appréciable. Il y a de l’échange, c’est oui ou c’est non, mais les dirigeants ont toujours été accessibles et à l’écoute.
Ensuite c’est pour la qualité et l’intérêt de mon travail, le secteur hospitalier offre une richesse médicale qu’on ne peut pas retrouver dans le privé. Et ce qui est important dans la vie c’est de trouver de l’intérêt dans ce que l’on fait. » détaille le docteur Jean-Luc CLEMENT.
La recherche est aussi un domaine indissociable du travail du chirurgien orthopédiste Jean-Luc CLEMENT. Ses communications dans les congrès scientifiques et ses publications dans les revues spécialisées ont été nombreuses. Et ses dossiers vont permettre de continuer la recherche. « Le recul et la recherche, sont primordiaux dans la santé. Mes interventions vont servir à enrichir et développer les connaissances chirurgicales et je souhaite à mon équipe de conserver ce rythme et de travailler en bonne harmonie ! » ajoute le Dr CLEMENT.
Consulter cette information au format pdf.
Le consortium -Victim Support Partners- choisi pour la création d’un centre d’expertise pour les victimes du terrorisme
La Commission Européenne attribue à VSE – Victim Support Partners -, consortium dont la Fondation Lenval est membre, la direction du projet visant la création d’un Centre d’expertise européen pour les victimes du terrorisme.
C’est pour la Fondation Lenval la valorisation et la reconnaissance des travaux de recherche entrepris et des connaissances acquises et développées ces dernières années. Le professeur Florence Askenazy, cheffe de service psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent de l’Hôpital Universitaire Pédiatrique Lenval et ses équipes du CE2P (Centre d’Evaluation Pédiatrique du Psychautraumatisme(1)) s’investissent au quotidien. Ce sont professionnels reconnus pour leur expertise dans la prise en charge des victimes du terrorisme.
Le centre fonctionnera comme un centre d’orientation, d’expertise et de soutien à l’égard des victimes du terrorisme. Sa création reflète la priorité que l’Union Européenne accorde aux victimes et témoigne de son attachement à de véritables partenariats entre l’UE, les États, la société civile, le secteur privé et les victimes elles-mêmes.
Victim Support Europe coordonne le consortium et dirigera ainsi le centre avec les partenaires Arq Impact, la Fondation Lenval et l’AFVT, ainsi que la coopération du CIQI et d’Ecorys et le soutien de nombreuses organisations de victimes faisant partie de VSE.
« Pendant de nombreuses années, Victim Support Europe et son réseau élargi de partenaires ont souligné la nécessité d’une action coordonnée de l’UE pour garantir que les besoins spécifiques des victimes du terrorisme soient compris et que la législation, la politique et les services appropriés soient en place pour les soutenir. Tout comme nous devons avoir l’expertise de l’UE pour lutter contre la radicalisation et le terrorisme, nous devons avoir l’expertise pour aider les victimes. » a précisé VSE dans son communiqué de presse.
Le centre européen aidera les États membres de l’UE à assurer une transposition efficace et une application pratique des règles de l’UE sur les victimes du terrorisme.
Le centre européen prévoira des actions concrètes et pratiques comme des formations pour les praticiens et des informations pour les victimes. Il développera également un réseau d’experts au niveau national pour soutenir l’échange de connaissances et des réponses plus efficaces au-delà des frontières.
À la fin du projet dans deux ans, toutes les actions du centre de l’UE seront évaluées afin de déterminer la nécessité et la faisabilité de la création d’un futur centre de coordination de l’UE pour les victimes du terrorisme.
« Nous ferons de cette plateforme un centre d’expertise pour les professionnels de santé, notamment sur les aspects de psychotraumatologie pour permettre à chacun de savoir prendre en charge humainement efficacement ces syndromes. Enfin, ce Centre aura une mission de conseil à la Commission Européenne. Nous formulerons des propositions concrètes pour améliorer la coordination entre Etats membres sur le déploiement de dispositifs de prise en charge des victimes et créer un Centre de Coordination européen pour les victimes du terrorisme que Nice souhaiterait accueillir. » a également indiqué Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
(1) Le CE2P est constitué d’une équipe pluridisciplinaire, spécialisée et expérimentée sur l’évaluation et la prise en charge du psychotraumatisme en population pédiatrique. L’équipe du CE2P met en oeuvre des actions d’accueil, d’information, de diagnostic, d’évaluation, de prise en charge, d’ateliers thérapeutiques, de recherche, de formation, de conseil, d’orientation et d’expertise auprès des familles et des professionnels impliqués auprès des enfants et des familles ayant vécu un psychotraumatisme. Cette équipe intervient aussi bien dans l’urgence (cellule d’urgence médico-psychologique), que dans l’évolution des conséquences d’un psychotraumatisme.
L’équipe du CE2P de Nice s’adresse aux enfants ayant un psychotraumatisme, ainsi qu’à leur famille, à tous les professionnels (sanitaires, médico-sociaux, éducatifs, associatifs, administratifs, judiciaire, etc.) et à toutes personnes concernées et en recherche d’informations se rapportant aux psychotraumatismes.
Des menus signés d’un chef en collaboration pour les fêtes
Près de 800 repas signés Didier Anies, chef du Fairmont, seront servis par les équipes de la restauration de la Fondation Lenval.
Suite à une initiative portée, depuis l’an passé, par Pierre CORCHIA, responsable d’unités et donc de la restauration des établissements de la Fondation Lenval, une collaboration avec le chef du Fairmont à Monaco, Didier ANIES, également Meilleur Ouvrier de France et le centre hospitalier universitaire est au menu du mois de décembre.
Les 12 et 25 décembre, des recettes de fête seront réalisées pour le déjeuner. Pour les jeunes patients et le personnel, ce sera l’occasion pour les équipes de faire découvrir des repas imaginés par un chef azuréen de renom.
« Des recettes réalisables en collectivités, mais surtout nouvelles. Des plats aux saveurs gastronomiques pour des personnes hospitalisées et le personnel des établissements de santé, c’est un moyen d’agir pour le bien-être et le bon rétablissement. C’est également un défi pour les équipes très impliquées dans la mise en œuvre. C’est l’occasion de proposer au plus grand nombre, des plats qu’ils ne consomment pas habituellement. Ils nécessitent non seulement des ingrédients, souvent de choix, mais aussi un savoir-faire et surtout la créativité d’un chef pour leur orchestration » précise très engagé dans le projet Pierre CORCHIA à la Fondation Lenval.
Ainsi le chef Didier ANIES apporte aux équipes une valeur ajoutée à travers des plats ‘signatures’ que l’équipe des cuisines du CHU réaliseront alors que le GIE à Lenval effectuera la remise en température et le dressage à l’assiette des différentes préparations.
Pour faire saliver les papilles avec un peu d’avance, au menu on retrouvera en exemples, en entrée un foie gras en croute de pistache, compote coing cannelle et tuiles de pin aux fruits secs ou encore en plat principal, un sauté de cerf et poêlée de girolles, salsifis, crosnes en papillote ou un filet de Daurade sauce betterave, gingembre et citron et en dessert un délice marrons mandarine.