Déprogrammation partielle à l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval
COVID-19 : Déprogrammation partielle de l’activité à l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval
Le comité de pilotage COVID-19 de la fondation Lenval annonce à compter du mercredi 24 février 2021, et jusqu’au dimanche 7 mars inclus, la déprogrammation d’une partie de l’activité de l’hôpital Lenval.
Le département des Alpes-Maritimes fait face, depuis plusieurs jours, à des taux de positivité et d’incidence records, impactant également les personnels soignants.
Afin de pouvoir assurer la permanence des soins d’urgence, l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval est dans l’obligation de reporter toutes les interventions chirurgicales et les hospitalisations en service de médecine programmées.
Les secrétariats médicaux se chargent dès aujourd’hui, mardi 23 février 2021, de contacter les familles en cas de confirmation ou d’annulation de leur prise en charge.
Les consultations de médecine, chirurgie et psychiatrie sont, elles, maintenues, avec un renfort des mesures barrières. La prise en charge des urgences est également assurée.
Ces modalités sont applicables jusqu’au dimanche 7 mars inclus. La semaine prochaine se tiendra une réévaluation des effectifs qui permettra ou non la reprise des activités programmées à partir du lundi 8 mars.
Rappel des règles quant à l’accueil des jeunes patients à l’hôpital Lenval :
- 1 seul accompagnant par enfant est autorisé
- Lavage des mains avec une solution hydro-alcoolique obligatoire à l’arrivée dans l’établissement
- Port d’un masque chirurgical obligatoire pour tous à l’intérieur de l’établissement
- Maintenir 2 mètres de distance dans tous les espaces
FORMATION AUXILIAIRE DE PUERICULTURE : LES DOSSIERS SONT DISPONIBLES
Vous souhaitez devenir auxiliaire de puériculture.
Le dossier d’inscription à la sélection est en ligne. Veuillez vous rendre sur l’onglet « FORMATION DIPLOMANTE » – AUXILIAIRE DE PUERICULTURE
Que se soit par la voie de l’apprentissage ou en parcours intégral et allégé, les dossiers sont à votre disposition.
Pour information, vous pouvez vous inscrire sur les 2 parcours (apprentissage et parcours intégral)
Une information vous manque ? 04 92 29 38 38
LES DOSSIERS POUR S’INSCRIRE A LA FORMATION CAP AEPE SONT EN LIGNE !
Vous souhaitez travailler avec les enfants de moins de 6 ans ?
La formation CAP Accompagnement Educatif Petite Enfance peut vous correspondre.
Pour plus de renseignements, RDV sur l’onglet « CAP AEPE », toutes les informations sont en ligne !
Une demande particulière : 04 92 29 38 38
CONCOURS D’ENTREE FORMATION PUERICULTRICE(EUR)
Pour ceux qui souhaitent présenter le concours d’entrée pour devenir Puéricultrice(eur), les documents sont en ligne – onglet concours.
Bonne lecture !
Donnez du sens à votre taxe d’apprentissage !
Parmi eux :
• L’Institut de Formation aux Métiers de l’Enfance et de l’Adolescence (IFMEA)
• L’Institut Médico-Éducatif (IME) « Bariquand Alphand »
Ces deux établissements sont habilités à recevoir 13% de la taxe d’apprentissage des entreprises.
La taxe d’apprentissage est un impôt versé par les entreprises, destiné à financer le développement des formations en apprentissage et la formation initiale.
- ZOOM sur l’IFMEA : Chaque année, plus de 200 élèves sont formés aux métiers de l’enfance et de l’adolescence. Les diplômes d’État d’auxiliaire de puériculture, de puériculteur/rice, le CAP AEPE et des formations continues sont proposés. L’institut est équipé d’une salle de simulation en santé riche en mannequins d’enfants et matériels de haute technologie pour un apprentissage de grande qualité.
- ZOOM sur Bariquand Alphand : C’est à Menton, dans un parc arboré de plus de 4 hectares, que 80 enfants âgés de 6 à 20 ans en situation de handicap psychique ou d’autisme sont accompagnés en internat ou semi-internat. à l’adolescence, ces jeunes sont également formés par les équipes afin de favoriser leur insertion dans une vie sociale à l’âge adulte.
Premières sessions de vaccination à Lenval
Depuis jeudi dernier, à l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval, se tiennent les premières sessions de vaccination contre la COVID-19.
Le personnel hospitalier de plus de 50 ans ou considéré comme à risque se présente sur base de volontariat.
Retour en images sur Facebook 🙂
Frédéric Jourdan-Gassin, président de l’association Les Amis de Lenval
Les membres du conseil d’administration de l’association des amis de Lenval sont heureux de présenter à l’occasion de ce début d’année leur nouveau président et les objectifs.
Frédéric Jourdan-Gassin, niçois, après une longue activité dans la vie économique locale, notamment dans le cabinet familial d’assurance, saisit aujourd’hui l’occasion de rejoindre les Amis de Lenval. Il prend la relève de Pierre-Alain REVELAT qui demeure membre du bureau.
Si la cause des enfants est à l’origine de son investissement de cœur, ce sont bien ses qualités humaines et professionnelles qui conduisent les objectifs définis avec le conseil d’administration. Ainsi 2021, sera l’occasion pour les membres de l’association de s’investir au développement de la fondation Lenval. Prioritairement la volonté est d’accueillir de nouveaux membres. Une cotisation symbolique annuelle fixée à 30 euros et la cooptation d’un membre sont les clés de l’ouverture à l’association. Ainsi les membres escomptent enrichir le nombre de prescripteurs pour faire connaître la diversité des activités de la fondation Lenval au profit de l’enfance. Sur 17 sites de Menton à Cagnes-sur-Mer, les sept établissements de la fondation Lenval dont l’hôpital universitaire pédiatrique ont besoin du soutien des azuréens particuliers comme professionnels.
Deux actions seront rapidement engagées par les membres de l’association :
– La possibilité pour les commerçants de soutenir la fondation avec un outil simple et efficace d’arrondi en caisse.
– le partage avec les notaires et professionnels locaux des avantages financiers des dons et legs auprès d’une fondation reconnue d’utilité publique.
Contact et information :
Le conseil d’administration est composé ainsi : Frédéric Jourdan Gassin, président | Laure Carladous, vice-présidente | Pierre-Alain Revelat, trésorier | Julien Riera, secrétaire | Louis Capecci | Dominique de Ricaud | Héléne Garence | Nicole Lebris | Benjamin Mondou
Mail : amisdelenval@gmail.com
Contact médias pour mise en relation, Raphaëlle Galante, directrice du développement et de la communication de la fondation Lenval | Tél. : 04 92 03 08 23 / 06 86 76 31 03 – raphaelle.galante@lenval.com
Revalorisations salariales du Ségur de la santé : MOBILISATION POUR UNE EGALITE DE TRAITEMENT DES PERSONNELS
Ils sont psychologues, auxiliaires de puériculture, médecins, salariés des centres de santé, infirmiers, professionnels de la protection de l’enfance, psychomotriciens… et pourtant ils n’ont pas tous accès aux mesures du Ségur de la santé.
Au cœur de leurs métiers : la santé de 0 à 18 ans, la protection de l’enfance, les handicaps, l’autisme, la formation des professionnels de santé aux métiers de l’enfance et de l’adolescence… La fondation Lenval est le gestionnaire privé solidaire de 8 établissements pédiatriques répartis sur 17 sites azuréens. Elle rassemble 1297 professionnels (en CDI). L’objectif partagé par ses administrateurs, dirigeants et fondateurs est la transmission d’une pédiatrie en bonne santé.
Aujourd’hui, l’inquiétude et l’incertitude mobilisent.
- La catégorisation de l’établissement dans lequel les professionnels exercent leur activité ouvrent ou non le droit à la revalorisation salariale du Ségur de la santé. Aujourd’hui les secteurs du médico-social et du social sont exclus, et pourtant on y retrouve les mêmes métiers, ils représentent 2% des personnels de la fondation Lenval.
- Les médecins de l’ESPIC, l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval, salariés de la fondation Lenval, soit 41 % des médecins, sont exclus des dispositions. Cela entraine dans la gestion des carrières comme dans l’attractivité des établissements une nouvelle inégalité que les gestionnaires privés solidaires ne peuvent compenser.
- Parallèlement, pour les personnels de santé qui bénéficient dès aujourd’hui des revalorisations, l’inquiétude est également forte. En effet, les modalités de ressources financières qui permettraient de garantir, sereinement et dans le temps, ces revalorisations reposent sur une évolution des tarifs. Il s’agit d’un nouveau risque économique fort.
Cette différence de traitement et les incertitudes mobilisent la direction générale de la fondation Lenval, depuis plusieurs semaines.
La pédiatrie azuréenne à Lenval, c’est une gestion privée solidaire, un modèle unique, historique. La solidarité est la valeur qui a bâti ce modèle et permis son essor.
Il est nécessaire d’unir les forces auprès des instances nationales pour assurer, d’une part, une égalité envers les personnels et les établissements et, d’autre part, pour garantir les dispositifs de ressources qui permettront de tenir ces engagements financiers.
« Les personnels de santé, toutes catégories confondues, dans les organisations hospitalières, médico-sociales ou sociales subissent des barèmes qui entrainent des salaires peu élevés. Le Segur de la santé, à juste titre, prévoit une revalorisation historique dans la santé. Pour des établissements comme les nôtres, et particulièrement dans nos secteurs médico-sociaux et sociaux, rien n’est assuré. Nous sommes donc inquiets et mobilisés au plus haut niveau aux côtés de la FEHAP(1), notre fédération. » indique Philippe Pradal, Président de la fondation Lenval. Dans un récent courrier, au Président du Département des Alpes-Maritimes, Philippe Pradal a tenu à l’informer des difficultés rencontrées notamment à la pouponnière, la petite enfance étant une compétence départementale déléguée à la fondation Lenval.
Arnaud Pouillart, directeur général de la fondation, est également délégué départemental de la FEHAP. « Le 6 novembre la FEHAP et NEXEM ont saisi le Premier ministre pour dénoncer l’exclusion des revalorisations salariales des professionnels du handicap, de la protection de l’enfance, de l’insertion… Cette différence de traitement crée une fracture au sein des établissements, elle s’ajoute à nos difficultés de recrutement, elle n’est pas fondée. »
Les personnels se sont également mobilisés. Des photos illustrant leur colère ont pu être diffusées via la page de la fondation Lenval du réseau social professionnel Linkedin s’associant ainsi à la campagne nationale initiée par la FEHAP. A leur initiative, une pétition en ligne a également rassemblé près de 1000 signataires.
(1) Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs.
INFORMATION – Départ de feu dans une chambre d’hospitalisation du service de pédopsychiatrie
Ce mercredi 9 décembre 2020, à 15h36, une alarme incendie détecte un départ de feu dans une chambre du service d’hospitalisation de pédopsychiatrie pour adolescents de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval à Nice, située dans un secteur mitoyen du bâtiment principal dit « phase 3 ».
A la suite d’une légère intoxication, un patient a été évacué par les pompiers au service des urgences pédiatriques dans le bâtiment principal. Il est, à cette heure, en surveillance hospitalisé dans un service de médecine pédiatrique. Son état de santé ne présente pas d’inquiétude.
Les autres patients hospitalisés dans ce bâtiment ont, pour six d’entre eux, rapidement été accueillis dans différentes unités de soin. Un pédiatre est venu assurer une première consultation générale auprès de chacun puis, suivis par leurs équipes soignantes les patients ont été accompagnés vers des unités temporaires de médecine pédiatrique. Deux adolescents ont été pris en charge par l’hôpital Pasteur. Six autres ont pu rejoindre leur domicile pour la nuit. Ils réintégreront leur unité de soin dans les meilleurs délais.
Les personnels, présents au moment des faits, ont également été invités à rencontrer le service de médecine préventive présent dans l’établissement. Ce service sera mobilisé tout le temps nécessaire ce mercredi soir.
Le bâtiment dit « Phase 3 », dans lequel s’est déclaré l’incendie, accueille deux services d’hospitalisation de pédopsychiatrie. Ces deux services comptaient aujourd’hui quinze patients hospitalisés. Ils sont tous hors de danger. Des services de consultations (dentaire, autisme…) ont également été évacués par mesure de précaution.
Le bilan matériel des dégâts occasionnés par ce départ de feu reste à établir, mais il sera important. Le constat visuel à l’issue des interventions, ce soir, indique qu’il faudra plusieurs semaines de travaux pour envisager la réouverture du deuxième étage, lieu du départ de feu.
« Les personnels ont réagi rapidement et selon les protocoles mis en place et acquis lors des formations internes incendie » souligne le Professeur Florence Askenazy, présente au moment des faits lors de la cellule de crise réunie par le directeur général de la fondation Lenval, Arnaud Pouillart.
Présent lors de l’intervention des sapeurs-pompiers, Arnaud Pouillart, directeur général, s’est assuré de la mise en sécurité de l’ensemble des patients et personnels. Il s’est ensuite rendu auprès des personnes évacuées face à l’établissement, afin de les informer, les rassurer et leur permettre d’accéder au bâtiment principal resté ouvert durant toute la durée de l’intervention. « Je souhaite souligner et remercier la rapidité d’intervention du service de sécurité de l’établissement et des services de secours : sapeurs-pompiers, police nationale, police municipale. La mise en sécurité des patients et des parents accompagnants, avec l’aide du personnel de l’hôpital, s’est déroulée avec professionnalisme. Je les en remercie également, » souligne le directeur général.
Les Urgences Pédiatriques de Lenval : rénovation et réaménagement au programme
24h/24, 7j/7, les urgences de l’hôpital universitaire pédiatrique, établissement de la fondation Lenval, sont au coeur d’un important programme de rénovation et de réaménagement.
832 m2 reçoivent chaque jour en moyenne 160 jeunes patients et leurs parents. Les consultations aux urgences pédiatriques ont augmenté de 16% depuis 2011, elles ont atteint précisément 61 698 passages en 2019, positionnant ce service comme le 3ème à l’échelle nationale.
Au-delà de ces données de fréquentation, les motifs de consultation et les pratiques médicales évoluent et il est aujourd’hui prioritaire d’adapter les lieux au fonctionnement du service. L’équipe est composée de 13 médecins dans une unité d’une centaine de personnes, tous professionnels confondus. La durée moyenne d’une consultation aux urgences est de 2h18, elle s’accroit même à près de 3 heures dans le cadre d’une urgence pour motif psychiatrique.
La priorité de ces travaux est donc le patient afin de limiter son temps d’attente, de faciliter sa prise en charge et de favoriser son retour à domicile.
Concrètement, les objectifs du projet sont :
- Améliorer l’accueil des familles
- Fluidifier les prises en charge
- Limiter les temps d’attente
- Mieux informer les familles dès leur arrivée
- Faciliter les démarches administratives
- Identifier les parcours de patients
- Faciliter la collaboration des équipes soignantes et paramédicales
- Un point guichet unique d’entrée
- Un espace central pour une vision plus globale
- Des espaces de soins adaptés aux circuits des prises en charge
- Augmenter le nombre de salles d’examen
- Développer un circuit court médico-chirurgical
- Coordonner l’unité d’hospitalisation de courte durée avec le secteur de pédiatrie générale
- Identifier un pôle dédié aux urgences pédopsychiatriques
- Poursuivre l’amélioration de la prise en charge de la précarité (PASS)
- Intégrer les nouvelles technologies
- Appareils médicaux de dernière génération (échographe, otoendoscopie, point of care biologique)
- Dématérialisation du dossier patient
- Favoriser l’enseignement notamment par simulation et la recherche clinique.
« C’est avec les équipes du service des urgences que ce projet a été imaginé puis déterminé. Érigés en priorité depuis l’année dernière, retardés par la crise sanitaire, améliorés dans leur définition avec la prise de poste d’une nouvelle cheffe des urgences pédiatriques, nous démarrons ces travaux.
Par exemple, 6 box de soins en circuit court et 6 box en circuit long, des espaces de stockage mutualisés, le regroupement des bureaux des médecins sont attendus dans les meilleurs délais. La difficulté que nous devons surmonter est de maintenir notre activité tout en effectuant les travaux. L’adaptabilité de chacun, entreprises, personnels et familles sera nécessaire pour réussir cette transformation et nous sommes conscients de la gêne qui sera occasionnée. Mais c’est une chance de pouvoir concrétiser ce projet structurant pour l’établissement, un projet de 1,3 million d’euros qui a reçu le soutien de l’ARS. » ajoute Arnaud Pouillart, directeur général de la fondation.
- Un pôle de psychiatrie aux urgences pédiatriques
Le nombre de passages aux urgences de Lenval pour un motif pédopsychiatrique est en augmentation constante depuis 2011, avec 4.5 patient par jour en 2019. L’augmentation depuis 2011 est de 238% (472 patients en 2011/1600 en 2019) et la majorité de ces patients (61.7%) se présentent entre 18 heures et 9 heures, donc il est important d’assurer 24h/24 une permanence psychologique et/ou psychiatrique adaptée.
- PASS, le service social de pédiatrie
Il accueille les enfants les plus démunis pour leur favoriser l’accès aux soins et assurer la protection de l’enfance. Les médecins de cette unité travaillent en collaboration avec la consultation environnement précarité et accompagnent les enfants et leurs familles dans le retour à domicile et la sortie d’hospitalisation, en effectuant les liens avec les différents partenaires sociaux et institutionnels, concourant ainsi à la résolution des problématiques sociales liées aux soins et/ou à la santé de l’enfant. Aujourd’hui, l’objectif est de réunir en un seul lieu les assistantes sociales, améliorer le repérage et l’orientation des situations critiques soit améliorer le travail collaboratif, transversal et interdisciplinaire.
- Soutien et aides
La fondation Lenval est le gestionnaire privé solidaire de l’hôpital universitaire pédiatrique. Reconnue d’utilité publique depuis 1888, les appels à la générosité (dons et legs) participent activement aux projets d’amélioration et de développement des établissements. Aujourd’hui encore, dans un contexte national et local particulièrement difficile suite aux événements qui affectent les foyers azuréens et l’économie locale, les soutiens financiers seront nécessaires.
OTOM – Streetart | La fondation Lenval est très heureuse du soutien d’Otom, street artiste niçois. L’aménagement de la zone d’accueil extérieure lui est confié. Il réunira un collectif de grapheurs, Whole Street pour l’accompagner dans la réalisation d’un univers pop, coloré, original et personnalisé. Pour Thomas Debatisse, c’est un projet solidaire, pour lequel il offre son talent, sa créativité et son temps. Un budget complémentaire de 10 000 euros est requis pour le matériel nécessaire, les entreprises azuréennes sont invitées à soutenir ce projet azuréen.
Hugo Lloris | Le parrain de la fondation Lenval a également réalisé une vidéo de soutien pour aider à cette levée de fonds.
Les Dames de Lenval | Elles sont également mobilisées pour fédérer et récolter des fonds qui permettront l’aménagement des espaces intérieurs.
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POUR SOUTENIR CE PROJET
Les particuliers peuvent faire un don en ligne sur le site internet de la fondation ou adresser un chèque à l’ordre de la fondation Lenval. Une déduction fiscale s’applique à hauteur de 66% du don / en cas d’IFI de 75%, un reçu fiscal justifiant le don sera adressé.
Les entreprises souhaitant s’investir dans ce projet et porter ainsi une démarche en RSE au sein de leurs équipes peuvent prendre contact avec Raphaëlle Galante, directrice développement et communication par téléphone au 04.92.03.08.23 ou par mail à developpement@lenval.com