Actualités de la Fondation LENVAL

  • Bel exemple de générosité des Maralpins pour Lenval

    Les Dames de Lenval ont reçu, ce samedi 28 juin, des représentants du Groupement de Défense des Intérêts d’Auron, un don de 31 000€ visant à soutenir les actions et projets de Lenval. Le Groupement de Défense des Intérêts d’Auron, GDI, a été créé en 1993 et a compté près de 200 membres.  Sa mission...
  • Hausse préoccupante des accidents “de baie vitrée” chez les jeunes 

    Hausse préoccupante des accidents “de baie vitrée” chez les jeunes  La Fondation Lenval alerte   Depuis plusieurs mois, les équipes médicales d’Orthopédie de l’Hôpital Pédiatrique Universitaire Lenval constatent une augmentation significative des accidents domestiques liés à des chutes au travers de baies vitrées. Un phénomène inquiétant, qui ...

Le centre d’imagerie médicale de la Fondation Lenval s’équipe de la dernière génération d’équipement d’imagerie avec le plus faible des rayonnements X du marché.

EOSedge™ est le seul équipement de dernière génération de la Côte d’Azur.

Il permet d’obtenir à partir d’une acquisition 2D, une modélisation 3D, à l’échelle 1:1 avec un très faible rayonnement. Cette technologie permet d’évaluer les anomalies du squelette et particulièrement d’apprécier l’étude statique de la colonne vertébrale, du bassin et des membres inférieurs.

Ce système d’imagerie de pointe fournit des images de haute résolution avec une modulation optimale de la dose de rayonnement, pour l’imagerie ostéoarticulaire et les soins orthopédiques. Cette solution est associée à un logiciel d’Intelligence artificielle qui permet la reconstruction 3D et les calculs tailles/distances particulièrement chronophages pour les radiologues. 

­­­­Le premier équipement EOS de Lenval est en service depuis 10 ans. Cette machine était devenue obsolète et hors garantie. C’est donc l’heure du renouveau et de bénéficier des dernières innovations ! A la pointe de la technologie, le système EOS est une invention française issue des travaux du Professeur Georges Charpark, prix Nobel de Physique en 1992. EOSedge associe une technologie de pointe de détection des rayons X, avec une faible dose d’irradiation et un nouveau design de cabine ouverte pour produire des images de haute résolution permettant aux médecins de poser un diagnostic fiable, d’élaborer un plan thérapeutique avancé et de contrôler les traitements orthopédiques.

DOMAINES D’APPLICATION : Imagerie du rachis | Cyphose et scoliose de l’enfant et de l’adulte | Spondylolisthesis | Fracture vertébrale | Equilibre du bassin | Déséquilibre sagittal | Imagerie des membres inférieurs | Bilan avant prothèse (genou, hanche) | Inégalité des membres inférieurs | Corps entier.

2 000 En moyenne, on comptabilise à Lenval chaque année 2 000 examens d’imagerie réalisés avec cet équipement (hors période de crise sanitaire) chez l’enfant et l’adolescent.

BIENTOT AUSSI POUR LES ADULTES Une activité adulte représentant plus de 200 patients par an est en cours de développement notamment avec l’ouverture, courant premier trimestre 2025, de plages de rendez-vous dédiées à cette patientèle, sur Doctolib.

Lenval est le seul centre d’imagerie à proposer ce nouveau système dans le Département.

« Il est impossible de s’en passer.  Le système acquis représente un progrès remarquable dans le domaine de l’imagerie ostéoarticulaire, pour nos jeunes patients. Ce nouvel équipement permet d’obtenir des données très précises, et donc de prendre des décisions thérapeutiques avancées. C’est une solution très peu irradiante qui permet d’obtenir des images de haute qualité afin de réaliser des reconstructions en 3 Dimensions. Cette acquisition est essentielle, elle offre une qualité des soins optimisée et nous sommes fiers d’être ainsi en première ligne pour accompagner les jeunes patines. » précise le Docteur Marco ALBERTARIO, médecin radiologue, chef du service imagerie de LENVAL, entouré des manipulateurs, d’Elodie SALDOT, cadre de santé, du Dr Federico SOLLA et du Professeur Virginie RAMPAL ROCHER chirurgiens orthopédiques.

L’EXAMEN

L’examen EOS, réalisé par le manipulateur en électroradiologie, est un examen radiographique vertical, utilisant un faisceau de rayons X, extrêmement fin.  Il utilise environ 10 fois moins de dose de rayons X qu’un examen radiographique conventionnel, voire 70 fois moins lors de l’utilisation du module micro-dose.

« Sachant que les enfants et adolescents sont plus sensibles aux rayons X que les adultes et que le suivi d’une scoliose nécessite la répétition des bilans radiographiques tout au long de la croissance, c’est un investissement indispensable pour Lenval où sont suivis dans cette spécialité orthopédique chaque année près de 2 000 jeunes patients » précisent le Pr Virginie Rampal Rocher et le Dr Federico Solla chirurgiens orthopédiques.

Le patient ne nécessite aucune préparation. Il est nécessaire de rester immobile, en position debout pendant la phase d’acquisition qui dure 10 à 20 secondes. La cabine d’acquisition étant très large, il est possible pour les patients en situation de handicap d’y accéder et la réalisation de l’examen peut se faire en position assise sur un siège « coqué », fabriqué pour cette modalité.

 

Les images du système EOSedge peuvent être utilisées pour générer des modèles 3D du rachis et des membres inférieurs et faciliter les décisions cliniques sur l’ensemble du parcours de soins. Les modélisations en 3D sont réalisées par des manipulateurs spécifiquement formés mais toutes les mesures standards orthopédiques sont réalisées par tous les manipulateurs sur une console dédiée, la Stereos.

INNOVATION

Le système EOSedge intègre la nouvelle technologie Flex Dose™ pour moduler la dose de rayonnement tout au long du balayage du patient. Cette technologie complète les technologies basse dose et Micro Dose d’EOS imaging qui permettent de réduire l’exposition au rayonnement afin d’en minimiser les conséquences à long terme. En outre, la technologie de détection par comptage de photons du système EOSedge fournit des images 2D de haute résolution qui permettent aux médecins de diagnostiquer et d’évaluer les pathologies ostéoarticulaires. C’est le premier système de radiologie conventionnelle qui intègre ce type de technologie.

 Grâce à son design ouvert, le système EOSedge, qui intègre une plateforme patient motorisée, offre des champs d’examen larges et facilite le positionnement du patient pour un examen plus confortable. Conformément à l’engagement d’EOS imaging en faveur d’une imagerie diagnostique précise, le système EOSedge permet des examens biplan basse dose du corps entier (ou localisés) de patients adultes et pédiatriques, en position fonctionnelle ; il est ainsi possible d’obtenir des images non déformées et des mesures anatomiques précises en position fonctionnelle afin d’améliorer la prise en charge des patients.

Les images du système EOSedge peuvent être utilisées pour générer des modèles 3D du rachis et des membres inférieurs et faciliter les décisions cliniques sur l’ensemble du parcours de soins.

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Plus d’information sur le CENTRE D’IMAGERIE DE LENVAL

Implanté dans le bâtiment principal de la Fondation Lenval, sur la Promenade des Anglais, le Centre d’imagerie de Lenval propose une offre de service pédiatrique mais également pour l’adulte pour certains examens.

C’est une équipe de 50 professionnels qui prend en charge chaque année près de 62 200 examens d’imagerie.

Radiologie et Echographie (enfants) : Le service dispose de 3 salles de radiologie de dernière génération, à capteur plan, permettant une diminution des doses d’irradiation. Il est également équipé d’un appareil à capteur plan pour les clichés panoramiques dentaires et télé-crânes, ainsi que d’une table d’ostéodensitométrie dédiée à la pédiatrie. Il dispose également de 3 appareils d’échographie doppler couleur et énergie, haut de gamme. L’un d’entre eux est dédié aux examens réalisés au lit du patient, notamment en réanimation.

Le service situé au niveau entresol est ouvert du lundi au vendredi de 8 heures à 18 heures et une permanence permet d’assurer les urgences pédiatriques.

EOS (enfants et adultes) : Le service EOS a déménagé fin Décembre 2024 et est désormais intégré au service de Radiologie et Echographie.

Scanner (enfants et adultes) : Le scanner ou tomodensitométrie est un appareil utilisant des rayons X permettant de faire des images rapides en coupe du corps humain incluant les organes, les vaisseaux, les os, les articulations etc…

Le service situé au 2° étage est ouvert du lundi au vendredi de 8 heures à 18 heures, une permanence permet d’assurer les urgences pédiatriques.

IRM (enfants et adultes) : L’IRM est un appareil qui utilise un champ magnétique et des ondes de radiofréquence, cette méthode d’exploration est donc non irradiante. Elle permet d’étudier toutes les régions du corps. L’examen, bruyant, nécessite une immobilité du patient pendant un temps relativement long dans un espace confiné. Lenval est équipé d’une machine ayant un tunnel plus large (70cm), les patients, enfants comme adultes, peuvent bénéficier de la télévision pendant la réalisation de l’examen et pour les plus jeunes, un simulateur appelé « IRM Jeu » permet de préparer l’enfant à l’examen dans des conditions similaires.

Le service situé au 2° étage est ouvert du lundi au samedi de 8 heures à 20 heures, une permanence permet d’assurer les urgences pédiatriques.

 

Be Parentalis au CES de Las Vegas

Lenval est fière de la présence de BeParentalis, assistant digital pour la santé des enfants, au CES. Le Consumer Electronics Show, salon annuel international, présente les dernières innovations technologiques dans les domaines de l’électronique grand public, de l’automobile et de l’industrie.

 » L’assistant médical BeParentalis est conçu pour offrir aux parents un outil fiable et intuitif, validé par des experts, afin de réduire les retards de diagnostiques et sauver des vies. » explique le Dr Aymen Kebaili au salon entouré de l’équipe BeParentalis. 

BeParentalis dévoile au CES de Las Vegas son assistant médical, une avancée majeure dans le domaine de la santé, de la pédiatrie. Cet assistant, doté d’un chatbot propulsé par l’intelligence artificielle, offre aux parents ou accompagnants d’enfants, sans compétence médicale, un accès fiable et instantané à des recommandations médicales adaptées.

Une technologie au service des parents et des enfants :

  • Conseils médicaux instantanés: Évaluation des symptômes et recommandations claires sur les actions à entreprendre.
  • Géolocalisation internationale: Accès direct aux maisons de soins, maisons de santé et PMI partout dans le monde.
  • Multilinguisme: Un assistant capable de parler toutes les langues pour une accessibilité globale.

En alliant intelligence artificielle et expertise médicale, BeParentalis ambitionne de transformer le parcours de soins en offrant un outil universel, pratique et accessible, qui accompagne les parents dans toutes les situations critiques.

« Bravo au Dr Kebaili, pédiatre à Lenval et à ses associés. C’est une reconnaissance internationale pour une innovation azuréenne ! » félicite Ronan DUBOIS, Directeur Général de la Fondation Lenval.

Un leader en prévention et innovation en pédiatrie :
BeParentalis se positionne comme le premier acteur en France en matière de prévention et d’innovation en pédiatrie. Grâce à des solutions uniques et une technologie de pointe, l’entreprise redéfinit l’accompagnement médical des familles pour anticiper les besoins de santé des enfants.

Une mission qui dépasse les frontières :
BeParentalis met la technologie au service de la vie, en rendant la santé accessible à tous, où que vous soyez.

À propos de BeParentalis :
Fondée en 2021 et portée par le Dr Aymen Kebaili, pédiatre réanimateur de l’hôpital Pédiatrique Universitaire Lenval à Nice, BeParentalis est aussi le fruit d’une collaboration avec la Fondation Lenval ; notamment, à travers le soutien des équipes de l’hôpital pédiatrique universitaire Lenval, l’ établissement pédiatrique de référence de la Côte d’Azur. 

 

La Fondation Lenval, à travers son Établissement pour Enfants et Adolescents Polyhandicapés (EEAP) Henri Germain, et l’ADAPEI des Alpes-Maritimes (MAS de Canta Galet) sont fières d’avoir ouvert une Unité Mobile Polyhandicap, un dispositif innovant conçu pour répondre aux besoins des personnes polyhandicapées

L’unité, créée en janvier 2019 et pérennisée depuis le 1er janvier 2023, incarne une avancée majeure vers l’inclusion et l’accompagnement personnalisé de ce public vulnérable.

Un dispositif d’accompagnement de proximité
Ce projet unique dans le Département des Alpes-Maritimes a pour objectif d’apporter une expertise technique et un soutien personnalisé aux personnes polyhandicapées, en collaboration avec leurs familles et les professionnels du secteur médico-social. Grâce à une approche inclusive et coordonnée, l’unité mobile permet d’adapter les modalités d’accompagnement, d’élaborer des programmes d’intervention sur-mesure et d’évaluer leur mise en œuvre.

En cohérence avec les orientations de politique publique, cette unité mobile a pour mission principale de faciliter l’inclusion des personnes polyhandicapées, tout en renforçant les dispositifs de proximité, qu’il s’agisse d’un accompagnement en milieu scolaire, en crèche ou à domicile.

Déjà 113 foyers accompagnés
Depuis sa création, l’unité mobile a déjà accompagné 113 personnes en situation de polyhandicap, dont une majorité d’enfants de moins de 10 ans. Ce succès témoigne de l’efficacité du dispositif dans un contexte où l’inclusion devient de plus en plus une réalité tangible pour ces jeunes.

Les actions menées par l’unité mobile sont variées : sensibilisation des professionnels du droit commun, mise en place d’outils pédagogiques, accompagnement dans l’adaptation des environnements (crèches, écoles, ESMS) et soutien à la mise en place d’accompagnements individualisés. Les familles, tout comme les professionnels du secteur, bénéficient d’un appui précieux dans l’évaluation et l’accompagnement de chaque situation.

Maladie virale et contagieuse, la bronchiolite (Virus Respiratoire Syncitial, VRS) est une atteinte respiratoire qui affecte les nouveaux nés et provoque dans les cas les plus sévères des séquelles respiratoires. Chaque année entre novembre et février, le pic épidémique s’annonce et peut entrainer des situations difficiles, comme des hospitalisations. Aujourd’hui, nous pouvons agir afin de limiter ces risques, par la prévention.

Afin de prévenir cette maladie et en limiter les risques deux recommandations :

  • Depuis l’année dernière un traitement préventif pour le nourrisson est préconisé. Administré à la naissance, il protège alors le nouveau-né.
  • La vaccination des futures mamans donc durant la grossesse. Les anti-corps sont alors transmis au bébé avant sa naissance.

Aujourd’hui en France, 30 % des nourrissons de moins de deux ans sont touchés par une bronchiolite. Si la bronchiolite est généralement bénigne avec une guérison spontanée en 5 à 10 jours, l’épidémie hivernale, de mi-novembre à fin janvier est chaque année un point d’inquiétude important pour le système de soins pédiatriques hospitaliers et libéral.

Le traitement préventif Beyfortus®

Il s’agit d’un traitement préventif par injection intra musculaire dans la cuisse du bébé. La durée de protection est d’au moins 5 mois. Il est donc préconisé de réaliser cette injection dès maintenant pour être protégé le temps de l’épidémie. Un enfant né entre janvier et septembre 2024 peut recevoir une injection au plus tôt. Pour les enfants à naître, l’injection est préconisée après la naissance dès que possible à la maternité ou à l’hôpital avant leur sortie.

Différent d’un vaccin, son rôle est d’inhiber l’étape essentielle de pénétration virale dans la cellule, c’est ainsi qu’il neutralise le virus.

« En région Paca, entre septembre et fin décembre 2023, plus de 9 800 nourrissons ont reçu ce traitement en sortie de maternité, soit plus de 72 % des nouveaux-nés sur cette période. Une nouvelle campagne de traitement préventif par Beyfortus® est relancée cette année pour les nourrissons nés après le 1er janvier 2024. Le traitement sera cette année disponible en sortie de maternités et en pharmacie de ville. » précise l’Agence Régional de Santé PACA (1)

La vaccination maternelle

La Haute Autorité de Santé reconnait l’intérêt d’une vaccination des femmes enceintes avec Abrysvo®, lors du 8e mois de grossesse.

« Les estimations issues de l’étude MATISSE[2] montrent une réduction significative des infections respiratoires sévères liées au VRS : 81,8 % à 3 mois, 69,4 % à 6 mois. Une réduction des hospitalisations est également observée : 67,7 % à 3 mois, 56,8 % à 6 mois. En ce qui concerne la tolérance du vaccin, il n’a pas été rapporté d’augmentation d’événements indésirables graves ni chez la mère, ni chez le nouveau-né.

Ces données valident l’intérêt de la vaccination et conduisent la Haute Autorité de Santé à l’intégrer dans la stratégie de prévention des infections à VRS chez le nourrisson » précise la Haute Autorité de Santé (2).

Quels sont les symptômes ?

Une bronchiolite débute généralement par un simple rhume ou une rhinopharyngite avec une légère fièvre. Puis des signes peuvent alerter, comme des difficultés respiratoires (respiration très rapide, très lente ou irrégulière) ; une toux sèche puis de plus en plus grasse ; une fièvre modérée ; une fatigue, une perte de réactivité ; des prises alimentaires inférieures aux rations habituelles.

 Bonnes pratiques avec un nourrisson (3) :

  • Se laver les mains avant et après contact avec le nourrisson ;
  • Nettoyer la table à langer ;
  • Limiter durant la période épidémique les visites au cercle des adultes très proches et non malades ;
  • Éviter les embrassades du nourrisson en dehors du cercle familial proche ;
  • Éviter au maximum durant la période épidémique les réunions de familles, les lieux très fréquentés et clos comme les supermarchés, les restaurants ou les transports en commun, surtout si l’enfant a moins de trois mois ;
  • Éviter dans la mesure du possible la garde en collectivité avant 3 mois ;
  • Exclure tout tabagisme dans les lieux de vie et de transport du nourrisson.

Bonnes pratiques pour les adultes proches d’enfants de moins de 1 an

1/ Si vous avez une rhinopharyngite ou si vous toussez, servez-vous de mouchoirs jetables.

2/ Toussez et éternuez dans votre coude.

3/ Portez un masque jetable si vous êtes enrhumé(e), surtout pour protéger les bébés.

4/ Ouvrez les fenêtres régulièrement pour aérer et diminuer la concentration en microbes.

5/ N’exposez pas votre enfant à un environnement enfumé (tabagisme passif).

Dans quels cas se rendre aux urgences ?

Dans la très grande majorité des cas, la bronchiolite est bénigne et une simple désobstruction du nez avec l’aide de sérum physiologique ainsi qu’un fractionnement de l’alimentation seront suffisants.

Néanmoins, certains signes cliniques ou critères doivent alerter et conduire contacter les Services d’Aide Médicale Urgente (SAMU) (4) :

  • Votre enfant fait des pauses respiratoires
  • Sa respiration devient lente et il reste très gêné pour respirer
  • Il refuse de boire les biberons ou de prendre le sein
  • Il fait un malaise
  • Il ne réagit plus, est très fatigué, dort tout le temps, geint
  • Il devient bleu autour de la bouche

 

Plus d’informations

(1) ARS Lancement de la campagne de prévention

(2) HAS – Vaccination maternelle contre le VRS

(3) HAS – Recommandation de bonnes pratiques dans la prise en charge de Bronchiolite aigüe

(4) HAS Fiche pratique « Conseils aux parents »

 

 

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