Construisez une carrière qui a du sens à Lenval
Jusqu’au 25 juin, les inscriptions a la formation CAP AEPE de l’IFMEA sont ouvertes !
Le CAP Accompagnant Éducatif Petite Enfance (AEPE) est un diplôme d’État Officiel de niveau 3.
Proposé par l’Institut de Formation aux Métiers de l’Enfance et de l’Adolescence (IFMEA), établissement de la fondation Lenval, ce diplôme forme des professionnels qualifiés pour travailler auprès des enfants de moins de six ans. Ils exerceront dans des structures collectives, des écoles maternelles, en milieu familial ou même à la pouponnière de la fondation Lenval, à l’issue de leur formation.
On apprend quoi ?
Le CAP AEPE est l’une des formations diplômantes proposées par l’Institut de Formation de la fondation Lenval.
L’élève apprend à participer à la construction de l’identité des jeunes enfants. Professionnel, il contribuera à leur épanouissement, en veillant toujours à respecter les choix des parents. Il établit avec la famille une relation de confiance et participe à créer un environnement d’accueil chaleureux et personnalisé pour chaque enfant. Les formateurs de l’IFMEA ont à cœur de leur apporter toutes les connaissances nécessaires pour qu’ils soient des accompagnants qualifiés.
Quels types de cours ?
Les cours sont dispensés par des formateurs permanents professionnels du secteur de l’enfant, ainsi que par des intervenants extérieurs (psychologues, diététiciens, assistants maternels, instituteurs, etc.). Différentes méthodes et outils pédagogiques sont proposés : travaux de groupe, mise en situation et analyse, travaux pratiques, etc. L’équipe est investie pour apporter à chaque élève le soutien nécessaire à l’apprentissage des connaissances essentielles et des bonnes pratiques professionnelles. Les compétences transmises incluent l’alimentation de l’enfant de 0 à 6 ans, les sciences médico-sociales, les techniques d’entretien des locaux et équipements, la prévention des accidents domestiques, la sécurité et l’environnement de l’enfant, les techniques d’animation, etc.
Pour travailler où ?
Le titulaire du diplôme peut exercer par la suite :
- En Établissement d’Accueil du Jeune Enfant (EAJE – type crèches, halte-garderies, etc.)
- En école maternelle
- En Accueil Collectif de Mineurs (ACM)
- À son domicile ou celui des familles
- En maison d’assistants maternels (MAM)
Le profil du candidat
« Cette formation proposée depuis l’an dernier par l’IFMEA reçoit 25 élèves. Notre engagement envers eux est bien réel, nous souhaitons qu’ils deviennent des professionnels de la petite enfance impliqués. Ils auront une responsabilité importante, et nous nous devons d’être à leur écoute toute la durée de la formation. »
-Lysiane Guilloux, Directrice de l’IFMEA
Les modalités de formation
L’institut propose 3 modalités de formation distinctes concernant le CAP AEPE :
- Le parcours en formation continue se déroule sur 10 mois en alternant 17 semaines de présence à l’institut et 14 semaines en milieu professionnel au sein d’un établissement d’accueil.
- Le parcours par voie d’apprentissages’articule sur 21 mois, alternant des périodes de cours, de stage et les périodes chez l’employeur. Le principe fondamental est de proposer des périodes longues chez l’employeur de 3 semaines minimum avec des retours en cours de 1 à 3 semaines pour permettre de relier les apports pratiques aux apports théoriques.
- La Validation des Acquis et de l’Expérience (VAE) est une démarche qui permet de faire reconnaître officiellement l’ensemble des compétences professionnelles acquises (y compris dans le cadre d’activités associatives ou bénévoles) en vue d’obtenir un diplôme.
Et après ?
Une fois formés et après quelques années sur le terrain, l’IFMEA accueillera à nouveau les professionnels de l’enfance pour les accompagner dans leur évolution de carrière ; les formations d’auxiliaires de puériculture et d’infirmiers.ères puériculteurs.trices sont proposées et peuvent déboucher sur un poste à la fondation Lenval directement.
Les candidats peuvent télécharger leur dossier d’inscription au CAP AEPE en cliquant ici.
Le processus d’inscription
1 – Remplir le dossier d’inscription
2 – Envoi ou dépôt du dossier à l’IFMEA
3 – Réception et vérification des documents
4 – Validation de l’inscription et envoi de la convocation pour un entretien oral de motivation.
Les coûts
– Parcours intégral et apprentissage
Frais de sélection : 50 €
Montant de la formation : 3 830 € (tenue non comprise)
– La VAE
De 410 € à 1 775 €
L’IFMEA en quelques lignes…
L’institut a pour mission de former les futurs professionnels de l’enfance, de la naissance à l’adolescence.
Labellisé depuis 2019, 3 formations diplômantes sont proposées :
- CAP AEPE
- Auxiliaire de puériculture
- Infirmière puéricultrice
Plusieurs types de parcours sont disponibles selon les diplômes : formation continue, en apprentissage, ou par VAE.
L’équipe pédagogique pluridisciplinaire accueille les élèves dans des locaux pensés et aménagés pour un apprentissage innovant.
La salle de simulation en santé, unique dans les Alpes-Maritimes, est équipée de mannequins simulateurs d’enfants et de matériel de haute technologie, permettant une simulation parfaite de différentes situations de soins. L’apprentissage par simulation est une méthode pédagogique active, basée sur l’analyse d’une action de soin et complémentaire des enseignements en travaux pratiques. Salles de cours, informatique, de travaux pratiques, de recherches, de visio-conférence et de restauration viennent compléter l’offre proposée par l’Institut.
Les Troubles des Conduites Alimentaires (TCA), parlons-en !
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) concernent près d’un million de personnes en France. Plus de la moitié d’entre elles ne sont pas dépistées et n’accèdent pas encore aux soins. A l’occasion de la 6e Journée internationale des TCA, le mercredi 02 juin, les équipes, pédopsychiatres et pédiatres, de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval alertent les professionnels et les familles.
En 2019, à Lenval : 289 patients ont suivi au moins une consultation pour des troubles du comportement alimentaire dont 42.21% avaient moins de 15 ans et 67.65% étaient des filles.
La prise en soin à Lenval
Le service (SUPEA*) a développé une expertise sur le diagnostic et la prise en charge de l’anorexie, la boulimie et les troubles d’alimentation sélective et/ou d’évitement.
Aujourd’hui des parcours de soins personnalisés aux patients et à leurs familles sont proposés.
« Progressivement, nous avons augmenté la capacité de soins ambulatoires pour qu’ils deviennent plus fréquents et plus précoces afin de diminuer les soins en hospitalisation à temps plein en fréquence et en durée. Cette prise en charge diversifiée et multidisciplinaire permet de proposer une véritable alternative à l’hospitalisation. Elle favorise l’alliance thérapeutique et de ce fait une continuité du soin sur plusieurs mois jusqu’à l’obtention de critères d’amélioration stables. Elle facilite les soins lors des rechutes. » indique le Dr Emmanuelle DOR.
Les prises en charge se veulent hyperspécialisées, innovantes et multidisciplinaires : pédopsychiatres, pédiatres, diététiciennes, médecin nutritionniste, psychologues, psychomotricienne, danse thérapeute… Elles visent à travailler la reprise alimentaire, les relations au corps, aux pairs, aux adultes, aux parents, à la scolarité, à l’orientation…
« Il s’agit de soins individuels ou de groupe, sous forme d’ateliers thérapeutiques olfactifs, gustatifs, créatifs (art-thérapie), corporels (relaxation, psychomotricité), de repas thérapeutiques, de cuisine créative, de groupe de parole. Ces soins sont proposés aux patient(e)s.
Dans ce dispositif, les parents sont accompagnés par des consultations parents, un groupe de parole et un groupe dédié aux mamans avec antécédents personnels de TCA » précise l’équipe.
Les signes d’alerte
Chez les adolescents, une perte de poids de 10% ou plus, des variations brutales de poids et de comportement, une aménorrhée, une préoccupation excessive autour de l’image du corps, de l’alimentation et de la diététique, ainsi qu’une mauvaise estime de soi, doivent être considérés comme des signes d’appel d’un comportement anorexique ou boulimique.
D’autres signes comme les vomissements, le suivi « à la lettre » de régimes avec une perte de poids significative, une activité physique intense, témoignent d’un trouble alimentaire qui s’installe…
Une « perte de l’appétit » se traduit par une lutte active contre la faim et un évitement de tous « les aliments qui font grossir », fréquemment associée à d’autres manifestations qui ont toutes pour but de perdre du poids (hyperactivité physique, vomissements provoqués, utilisation de médicaments, etc…)
Une perturbation de l’image corporelle, dans laquelle la personne ne perçoit plus sa propre maigreur, associée à une obsession du poids et une peur panique de grossir.
Une consultation médicale s’avère nécessaire quand au moins deux réponses positives sont données sur ces 5 questions :
- Vous faites-vous vomir lorsque vous avez une sensation de trop plein ?
- Etes-vous inquiet d’avoir perdu le contrôle des quantités que vous mangez ?
- Avez-vous récemment perdu plus de 6 kg en moins de 3 mois ?
- Vous trouvez-vous gros alors même que les autres disent que vous êtes trop mince ?
- Diriez-vous que la nourriture domine votre vie ?
(Version française du questionnaire SCOFF-F)
PROFESSIONNELS ¤
Depuis 4 ans, le SUPEA fait partie de la Fédération Méditerranéenne Anorexie Boulimie (Bouches du Rhône, Var et Alpes Maritimes) affiliée à la FFAB. Ainsi la FMAB propose une visioconférence le mercredi 2/06/2021 pour les professionnels sur le thème :
« TCA Enfant, Adolescent, Jeune Adulte : Quand s’inquiéter ? vers qui orienter ? » + Infos : +33 (0) 4 92 03 03 26
*SUPEA : Service Universitaire de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent
FOCUS MEDICAL
Tous les soins, mis en place par le SUPEA ont été pensés et développés à partir d’une hypothèse originale :
les patient(e)s présenteraient une altération de la dimension hédonique mal intégrée ou effacée au cours de leur développement en lien avec des distorsions des cognitions sensorielles.
Ainsi dans une approche intégrative fondée sur les théories psychodynamiques, l’expérience clinique et l’apport des neurosciences nous avons développé un parcours de soins sensoriels.
Notre dispositif de prise en charge est constitué de différentes modalités de soins complémentaires : l’hospitalisation à temps plein (Unité de 7 lits) et les soins ambulatoires avec des consultations spécialisées, un CATTP (Centre d’Accueil Thérapeutique à Temps Partiel) devenu Hôpital de jour (6 places) et une Equipe mobile TCA.
« Le permis de conduire à l’hôpital » : Démarrage à la fondation Lenval
La fondation Lenval signe une convention de partenariat avec l’association « Les Z’enfants de l’Auto » dans le but d’offrir aux jeunes patients suivis au Centre d’évaluation pédiatrique du psychotraumatisme (CE2P) l’opportunité d’accéder à la formation du permis de conduire.
Le Comité des Dames de Lenval, agissant au nom de la fondation Lenval, a pu mettre en relation l’association « Les Z’enfants de l’Auto » et les équipes soignantes du CE2P. Ce centre est spécialisé dans l’évaluation et la prise en charge du psychotraumatisme en population pédiatrique. Dans le cadre du soin thérapeutique proposé, l’ascension vers l’autonomie des jeunes adultes pris en charge représente très souvent un enjeu majeur.
Quoi de mieux que le permis de conduire pour accéder à cette indépendance ?
Pour pallier l’agoraphobie ou diverses angoisses liées à des traumatismes routiers, le Dr Michèle Battista, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent du CE2P, décrit ce partenariat avec enthousiasme « C’est une chance et une très belle opportunité pour notre équipe. Le permis de conduire va être un outil pour venir aider les patients à acquérir l’autonomie dont ils ont profondément besoin. Nous souhaitons construire ce partenariat dans la durée, car nous sommes convaincus que le « projet individuel de permis de conduire » est un enjeu déterminant pour les jeunes que nous accueillons ».
LE PROJET
L’idée est de pouvoir passer le permis de conduire à distance et sans que ce permis ne vienne alourdir la charge financière des jeunes patients. L’association « Les Z’enfants de l’Auto » (avec le soutien de la Fondation Renault et en partenariat avec Auto-école.net), propose aux jeunes adultes suivis pour des pathologies parfois lourdes et pouvant entraîner un décrochage scolaire et social, un financement à 100% de leur formation au permis de conduire.
« Le but de ce projet est de venir en aide à des jeunes en situation difficile. Dans le cadre de ce partenariat avec la fondation Lenval, nous élargissons notre champ action. Depuis plusieurs années nous sommes en région parisienne notamment partenaires de l’hôpital Necker-Enfants malades. Aujourd’hui être à Nice, c’est accompagner plus de familles et nous en sommes particulièrement heureux.
Les jeunes présentent, pour certains, des pathologies qui rendent l’utilisation des transports en commun difficile ou encore qui appréhendent la conduite suite à un accident de la route. C’est là que nous intervenons, au plus près de ces jeunes. Ils ont besoin de notre coup de pouce à l’allumage ! » explique Guy Jourdan, président de l’association Les Z’enfants de l’Auto.
COMMENT ÇA MARCHE ?
Auto-école.net est une auto-école en ligne permettant d’amener directement aux jeunes une formation à leur rythme et en tenant compte de leur pathologie : ainsi, la préparation à l’examen du code de la route se fait en e-learning avec évaluation permanente de la progression, et la préparation à l’épreuve de conduite avec un véhicule auto-école se fait au départ du lieu choisi par le candidat.
En leur offrant cette opportunité, la fondation Lenval et Les Z’enfants de l’Auto s’associent pour fournir ce sésame, synonyme de liberté, à des jeunes en voie d’insertion dans la vie d’adultes.
+ infos sur l’association : https://www.leszenfantsdelauto.fr/
Participez à la No Finish Line et intégrez l’équipe de la Fondation Lenval
- Cliquez sur le logo No Finish Line Nice.
- Cliquez sur mon profil.
- Créez votre compte avec mot de passe.
- Cliquez sur Inscription.
- Remplissez le formulaire.
- Cliquez sur « rejoindre une équipe » et sélectionnez Fondation Lenval.
- Acceptez le règlement et les conditions d’utilisation.
- Régler l’inscription (site sécurisé).
- Vous recevez un email de confirmation et un numéro de dossard vous sera attribué avec la possibilité de l’imprimer pour courir avec.
Le cumul des kilomètres se fait via l’application No Finish Line ou via une montre connectée. À partir du 26 mai 14 heures et jusqu’au 30 mai 16 heures, lorsque vous effectuez votre sortie pour la No Finish Line® Nice :
- Cliquez sur chronomètre.
- Sélectionnez « commencer une course ».
- Cliquez sur No Finish Line Nice.
- Cliquez sur « commencer la course ».
- Lorsque votre course est terminée, cliquez sur le cadenas, puis « terminer » puis « enregistrer » pour que vos kilomètres remontent dans les données.
Pour que vos kilomètres soient pris en compte, vous devez effectuer au minimum 1 km (ce qui correspond à 1 tour de circuit).
Le micro-don des grands héros
La fondation Lenval engage une campagne auprès des commerçants pour leur proposer d’agir au plus près des besoins des établissements pédiatriques dont elle est gestionnaire. Cette campagne de promotion est réalisée par les élèves de l’ECS Média School. Elle vise à promouvoir l’arrondi en caisse comme un outil pour le commerçant d’engagement solidaire et fédérateur, de fidélisation, et pour la fondation un outil de récolte de dons.
La fondation Lenval, reconnue d’utilité publique depuis 1893, gère les établissements pédiatriques de référence sur la Côte d’Azur. Elle est habilitée à recevoir des dons et legs, ces ressources participant au financement des travaux de recherche, aux investissements en matériel et équipements de pointe ou encore à assurer un volet ludo-thérapeutique aux soins des enfants malades.
Considérer la digitalisation de la société pour collecter des dons est devenu un impératif. L’arrondi en caisse, tel qu’il est proposé par HEOH®, société agréée ACPR(1) est sans impact financier pour le commerçant, avec une grande souplesse dans la gestion des campagnes et une prise en main ne demandant que peu de temps au commerçant local. Cette solution a été adoptée par la fondation Lenval comme un nouvel outil de développement.
ECS MEDIA SCHOOL & La fondation Lenval
L’école de communication ECS European Communication School, partenaire de la fondation Lenval, a souhaité proposer aux étudiants « 2020-2021 » de soutenir la fondation Lenval. Le projet de « micros dons » venait d’être déterminé, la compétence des étudiants est au rendez-vous.
8 élèves de la Licence au Master, spécialisés en Communication travaillent sur ce projet en lien avec leur coach référent depuis la rentrée de septembre.
La mission des étudiants ? Susciter l’intérêt des commerçants pour qu’ils adhèrent au dispositif.
Comment ? Benchmark, plan de communication, réalisations graphiques, médias et réseaux sociaux, planning éditorial, vidéos, goodies, PLV, événementiels ; ils ont abordé, imaginé et proposé de nombreux champs de la communication pour soutenir ce projet.
UN PROJET POUR TOUS !
Commerçant ou donateur, tout le monde y trouvera son compte.
- Le commerçant engagé s’inscrit dans une démarche solidaire, valorise l’image de son commerce et fait évoluer sa relation clients avec un nouvel alibi d’échanges.
- Donateur, pour participer facilement et rapidement à la vie locale en soutenant les actions vers les jeunes patients de la fondation Lenval.
Ce projet de développement est également soutenu par l’association Les Amis de Lenval, ses membres interviendront pour conseiller et aider les commerçants.
Les Laboratoires INELDEA renouvèlent leur soutien à la fondation Lenval
Le renouvellement d’un mécénat d’entreprise est un moment fort pour la fondation Lenval. C’est le signe d’un engagement et d’un soutien renforcé. Les Laboratoires Ineldea ont confirmé leur aide pour les trois prochaines années.
Les Laboratoires Ineldea s’étaient engagés en 2017 à soutenir financièrement l’investissement en équipement pédiatrique de la fondation Lenval, ils avaient confirmé en 2019 cet engagement et de nouveaux échanges viennent de confirmer un engagement sur trois années.
Nicolas Cappelaere, le président directeur général des Laboratoires Ineldea, installés à Carros, a engagé le versement annuel d’une aide financière d’un minimum de 5000 euros pour du matériel pédiatrique. Cette année leur aide contribue à l’achat d’équipement dans les services de médecine. Des chauffeuses pour les parents accompagnants, un fauteuil roulant ou encore des pèses bébé sont des besoins récurrents. Leur renouvellement est nécessaire pour assurer une qualité à la hauteur du niveau d’accueil et de prise en soin visé.
« Soucieux d’apporter, depuis des années, des réponses naturelles au bien-être et au confort quotidien des plus jeunes pour préserver leur capital santé, c’est tout naturellement que les Laboratoires INELDEA soutiennent la Fondation Lenval. Son ancrage local très fort, ses valeurs et sa réputation incontestée, font de ce mécénat une évidence », confie Nicolas CAPPELAERE.
Le mécénat d’entreprise
La fondation Lenval propose aux entreprises d’être acteur de ses missions. Le bien-être des enfants c’est la priorité des établissements de la fondation Lenval.
« Depuis plus de 130 ans, la fondation Lenval, soigne les azuréens, c’est un acteur local indispensable à la pédiatrie. Reconnue d’utilité publique depuis 1893, les entreprises mécènes bénéficient d’un avantage fiscal et peuvent afficher leur démarche en responsabilité sociale des entreprises (RSE). Nous pouvons les accompagner et trouver ensemble les projets à soutenir en fonctions de leurs centres d’intérêt. Je remercie les laboratoires Ineldea pour leur confiance et leur soutien » précise Arnaud POUILLART, directeur général.
Nomination du professeur Jean Breaud à la présidence de l’OA CHIRPED
Le Professeur Jean BREAUD, chef de service de chirurgie de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval est nommé président de l’OA CHIRPED. L’organisme d’accréditation de chirurgie infantile est un organisme national de gestion de risque. Il est sous la dépendance de la Haute Autorité de Santé et son objectif est l’amélioration continue de la qualité des soins et la prévention des évènements indésirables en chirurgie infantile.
L’organisme recueille et analyse à l’échelle nationale les évènements indésirables, il élabore recommandations et guides de bonne pratique en chirurgie infantile, mais aussi dans les autres spécialités via des approches transdisciplinaires.
Ce retour d’expérience a porté ses fruits dans de nombreux domaines de prévention de risque (cœlioscopie, drainage chirurgical, prévention des erreurs médicamenteuses…)
Le Professeur Jean Breaud, expert dans cet organisme depuis sa création en 2013 puis vice-président en charge du développement professionnel poursuivra donc son action en tant que Président.
Plusieurs projets sont engagés pour améliorer à l’échelle nationale, la formation et la prévention des risques. Il est notamment à l’origine d’un programme pédagogique de formation par simulation. Ce programme est conçu par le partage de scenarii mettant en situation les chirurgiens pour qu’ils repèrent rapidement les difficultés déjà rencontrées par d’autres praticiens. Au sein de l’organisme, les travaux de recherche comme les outils pratiques réalisés ont pour but d’enrichir l’expertise professionnelle par le retour d’expérience des pairs. « Je suis très heureux de poursuivre mon engagement au sein de l’OA CHIRPED. Cet organisme national, sous la dépendance de la Haute Autorité de Santé, apporte les éléments indispensables pour que la chirurgie infantile continue de progresser en bénéficiant de toute la richesse des situations auxquelles, nous les chirurgiens, nous sommes confrontés au quotidien. Je suis convaincu que le partage de nos connaissances, et la transmission des savoirs, sont essentiels à nos métiers. Ils sont également les garants de l’intérêt que nous portons à notre profession pour toujours mieux prendre en soin les jeunes patients. » développe le Professeur Jean Breaud
LA CHIRURGIE INFANTILE A l’HOPITAL UNIVERSITAIRE PEDIATRIQUE LENVAL
LES SPECIALITES CHIRURGICALES
Une équipe de 14 chirurgiens temps pleins (plus 8 vacataires) qui réalisent toutes les activités chirurgicales (sauf la chirurgie cardiaque pédiatrique) de référence régionale et de proximité, la prise en charge des urgences chirurgicales pédiatriques, traumatologiques et néonatales H24, en lien avec l’ensemble des établissements de PACA, du Var et de la Haute Corse.
Activités réalisées : chirurgie urologique, viscérale, thoracique, oncologique, plastique, orthopédique, ORL, ophtalmologique, dentaire et maxillofaciale et de neurochirurgie.
- Un bloc opératoire de 5 salles équipées des dernières technologies permettant de prendre en charge d’une manière optimale les enfants et de leur faire bénéficier des avancées technologiques (laser, chirurgie mini invasive…) et d’explorations paracliniques poussées en s’appuyant sur le plateau technique de l’hôpital.
- Des activités de recours en consultation multidisciplinaires pour des pathologies complexes et des troubles fonctionnels (urinaires)
- Une équipe paramédicale (hospitalisations, pansements) spécialisée en pédiatrie (locaux et personnels formés et adaptés) et sensibilisés aux techniques de prise en charge non médicamenteuse des soins et de la douleur de l’enfant
- Une coordination universitaire et médicale avec les collègues en charge de la chirurgie adulte afin d’établir la transition de nos patients adolescents
- Une activité de recherche médicale et d’enseignement soutenue, notamment dans l’apprentissage médical par simulation auprès de la Faculté de Médecine mais aussi des étudiants médicaux et paramédicaux en stage dans l’établissement.
- Une prise en charge optimisée du patient en privilégiant dès que possible la prise en charge ambulatoire (moins de 12 h d’hospitalisation) avec l’établissement d’un parcours de soins rigoureux permettant cette prise en charge (dans plus de 60 % des cas).
Techniques d’hypnose et réalité virtuelle intégrées dans un casque pour les jeunes patients
Cette technologie innovante est offerte aux équipes par le Rotary
Les membres du Rotary Club de Saint-Paul-de-Vence, sensibilisés à l’hypnose médicale, ont organisé des collectes en 2020 pour offrir aux équipes médicales de la fondation Lenval une nouvelle forme « d’hypnose médicale » grâce à une technologie innovante.
L’hypnose médicale est une technique de soin pratiquée en pédiatrie à Lenval depuis plusieurs années. Aujourd’hui, la réalité virtuelle via une application dédiée permet un développement dans la pratique.
Le Rotary club de St Paul de Vence a su convaincre son District pour compléter ce don et permettre l’acquisition de deux casques et du financement des logiciels pour une année. Aujourd’hui ces dispositifs ont été offerts aux équipes médicales de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval, pour que l’année 2021 permette cette nouvelle pratique.
Le docteur Virginie RAMPAL, chirurgien orthopédique, a été contacté par le Rotary Club de Saint-Paul-de-Vence lui faisant part de ce projet. Intéressée et intriguée, c’est avec le docteur Gilles BREZAC, anesthésiste-réanimateur diplômé en hypnose médicale et accompagné par Arnaud POUILLART le directeur général qu’ils ont rencontré il y a quelques semaines, un représentant de la société HypnoVR.
La solution présentée à travers le casque dédié et son logiciel adapté a su les convaincre d’adopter cette pratique d’hypnose supplémentaire et novatrice pour les enfants pris en soin par trois services aujourd’hui ciblés : les pansements, la chirurgie ambulatoire et l’équipe d’algologie.
Les différentes équipes de professionnels de santé sont aujourd’hui sensibilisées et formées à cet outil. Plusieurs indicateurs ont été déterminés afin de suivre l’utilisation de cette nouvelle méthode. « L’objectif est d’offrir aux jeunes patients une technique hypnotique aisée à mettre en œuvre et plus ludique. Permettre ainsi la pratique des soins en limitant l’usage de médicaments et en préservant le confort des enfants pris en charge sera un atout complémentaire. Notre intérêt pour ces outils est réel, nous sommes à l’affut des technologies de pointe et souhaitons favoriser leur développement en pédiatrie » indique Arnaud POUILLART le directeur.
En cette période où tout est en sommeil, depuis un an, le Rotary Club de Saint-Paul-de-Vence représenté par son Président Gérard Poignon a refusé la fatalité et s’est engagé dans l’action au nom de ses convictions « SERVIR D’ABORD ».
Après avoir croisé le chemin de Nicolas Schaettel d’HYPNOVR et découvert cette nouvelle technique d’hypnose médicale par réalité virtuelle, permettant d’offrir aux jeunes patients une alternative à l’utilisation des médicaments et à les soulager pendant leur traitement, les membres du Rotary Club de Saint-Paul-de-Vence ont fait le choix de financer un système complet : logiciel, casques et tablette afin de l’offrir à la Fondation Lenval.
La Fondation Rotary représentée par Machiko Wakai past district governor et responsable de la commission Fondation du district et le district 1730 représenté par son gouverneur Philippe Raffin ont cautionné cette action et décidé de financer un second dispositif.
PLUS D’INFOS HypnoVR©
Déroulement d’une séance HypnoVR©
La séance se déroule juste avant l’examen et dure entre 15 et 30 minutes. Le patient est confortablement installé dans un fauteuil, dans une pièce dédiée à cette séance. Avant de commencer, le/la technicien-ne propose différents univers visuels tels que des fonds marins ou un paysage d’hiver par exemple, un type de voix ainsi qu’une composition musicale originale inspirée de la musicothérapie pour une expérience personnalisée. Le patient reste conscient durant toute la séance, apaisé et confiant, immergé dans un univers de confort et de sécurité.
Conçu par deux médecins anesthésistes- réanimateurs et hypno praticiens
Créé par les docteurs Chloé Chauvin et Denis Graff ainsi que Nicolas Schaettel, expert en nouvelles technologies, HypnoVR© est une solution basée sur les techniques d’hypnose médicale.
« Nous sommes partis du constat que les bénéfices de l’hypnose médicale sont démontrés par plusieurs centaines d’études cliniques et notre ambition est de démocratiser l’accès à cette pratique grâce à nos solutions s’appuyant sur la réalité virtuelle pour en faire une alternative non médicamenteuse et complémentaire à d’autres solutions de sédation et d’analgésie. Suite à plusieurs résultats d’études, il a été prouvé que HypnoVR© diminue la sensation de douleur, le stress et l’anxiété pour le plus grand confort des patients et des médecins. » explique Nicolas Schaettel, Co-Fondateur d’HypnoVR©.
Les patients vivent ainsi une expérience multi-sensorielle unique, personnalisée et en toute sérénité, isolés des stimulis anxiogènes de la salle d’examens ou de soins pendant que le/la praticien-ne réalise les examens et les traitements. Depuis plus de quatre ans, la solution HypnoVR© a su mettre en avant ses bénéfices dans différentes indications et procédures médicales au travers d’études cliniques rétrospectives présentées lors de congrès médicaux dont en chirurgie pédiatrique, en chirurgie dentaire et en procréation médicalement assistée.
COVID-19 : Reprise de l’activité à l’Hôpital Universitaire Pédiatrique Lenval
Le comité de pilotage COVID-19 de la fondation Lenval annonce à compter du lundi 8 mars la reprise des activités de l’Hôpital Universitaire Pédiatrique Lenval qui avaient dû être suspendues deux semaines.
L’épidémie de Covid-19 avait atteint également le personnel soignant et en prévention il était prudent de s’assurer des effectifs suffisant aux urgences pédiatriques et dans les services d’hospitalisations. Des mesures limitant l’activité de l’établissement avaient donc été prises, le 23 février, afin de garantir les parcours de soins des urgences aux hospitalisations.
Les derniers résultats d’analyse virologiques des personnels, permettent une reprise des activités programmées de chirurgie et les hospitalisations en service de médecine dès lundi 8 mars.
Depuis plusieurs mois, les établissements de santé font face à des difficultés de recrutement et c’est une gestion du personnel au jour le jour qui est appliquée dans un contexte de crise sanitaire.
« Un comité de pilotage, dédié à cette crise, s’applique depuis un an à engager les mesures et moyens nécessaires à la réactivité des établissements de santé. La priorité est de garantir la prise en soin des jeunes patients en préservant notamment le personnel des risques d’infection. D’importants moyens et des mesures de prévention sont déployés depuis pour nous prémunir. Pour la première fois, la situation des personnels avait nécessité cette baisse de nos activités. Une trentaine de cas contacts étaient répertoriés, un chiffre 3 fois supérieurs aux moyennes relevées de ces derniers mois. Aujourd’hui la médecine préventive et la direction des soins, coordonnées assurent un retour à des taux inférieurs qui nous permettent cette décision. » assure Arnaud Pouillart, directeur général.
LES MOYENS DE PREVENTION
La vaccination des soignants
Depuis plusieurs semaines, conformément aux décisions ministérielles, la vaccination du personnel est engagée. « Aujourd’hui, nous avons fait la moitié du chemin pour atteindre une immunité collective des personnels dans nos établissements. Tous les moyens sont mis en oeuvre pour assurer le plus rapidement la meilleure couverture vaccinale. » précise le Dr François de la Brière, président de la Conférence Médicale d’Etablissement.
La vaccination des patients éligibles
Depuis l’autorisation ministérielle, nous contactons les familles pour lesquelles la vaccination de l’enfant de 16 ans et plus est préconisée. Près de 300 adolescents sont ainsi conviés à bénéficier d’une vaccination sécurisée à l’Hôpital Universitaire Pédiatrique Lenval. Ce courrier
est adressé avec une information dédiée et le recueil de leur consentement. Cette procédure permettra d’organiser des séances de vaccination adaptées.
L’accueil des jeunes patients hospitalisés
Tous les patients accueillis dans le cadre d’une hospitalisation sont testés par PCR. Ils sont ainsi pris en soin avec des moyens en adéquation. Afin de limiter les risques de contagion, le parent accompagnant doit également présenter un test PCR de moins de 3 jours.
Un accès aux services adapté
Dès l’entrée dans l’établissement, des distributeurs de solution hydro alcoolique, le contrôle du port du masque, des mesures de distanciations sont proposés. Un seul accompagnant par patient est accepté et les visites ne sont donc pas autorisées.
L’application de ces mesures est indispensable. Les familles et le personnel agissent ainsi ensemble. La fondation Lenval les remercie pour cette responsabilité collective.
Déprogrammation partielle à l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval
COVID-19 : Déprogrammation partielle de l’activité à l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval
Le comité de pilotage COVID-19 de la fondation Lenval annonce à compter du mercredi 24 février 2021, et jusqu’au dimanche 7 mars inclus, la déprogrammation d’une partie de l’activité de l’hôpital Lenval.
Le département des Alpes-Maritimes fait face, depuis plusieurs jours, à des taux de positivité et d’incidence records, impactant également les personnels soignants.
Afin de pouvoir assurer la permanence des soins d’urgence, l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval est dans l’obligation de reporter toutes les interventions chirurgicales et les hospitalisations en service de médecine programmées.
Les secrétariats médicaux se chargent dès aujourd’hui, mardi 23 février 2021, de contacter les familles en cas de confirmation ou d’annulation de leur prise en charge.
Les consultations de médecine, chirurgie et psychiatrie sont, elles, maintenues, avec un renfort des mesures barrières. La prise en charge des urgences est également assurée.
Ces modalités sont applicables jusqu’au dimanche 7 mars inclus. La semaine prochaine se tiendra une réévaluation des effectifs qui permettra ou non la reprise des activités programmées à partir du lundi 8 mars.
Rappel des règles quant à l’accueil des jeunes patients à l’hôpital Lenval :
- 1 seul accompagnant par enfant est autorisé
- Lavage des mains avec une solution hydro-alcoolique obligatoire à l’arrivée dans l’établissement
- Port d’un masque chirurgical obligatoire pour tous à l’intérieur de l’établissement
- Maintenir 2 mètres de distance dans tous les espaces