Jusqu’au 25 juin, les inscriptions a la formation CAP AEPE de l’IFMEA sont ouvertes !
Le CAP Accompagnant Éducatif Petite Enfance (AEPE) est un diplôme d’État Officiel de niveau 3.
Proposé par l’Institut de Formation aux Métiers de l’Enfance et de l’Adolescence (IFMEA), établissement de la fondation Lenval, ce diplôme forme des professionnels qualifiés pour travailler auprès des enfants de moins de six ans. Ils exerceront dans des structures collectives, des écoles maternelles, en milieu familial ou même à la pouponnière de la fondation Lenval, à l’issue de leur formation.
On apprend quoi ?
Le CAP AEPE est l’une des formations diplômantes proposées par l’Institut de Formation de la fondation Lenval.
L’élève apprend à participer à la construction de l’identité des jeunes enfants. Professionnel, il contribuera à leur épanouissement, en veillant toujours à respecter les choix des parents. Il établit avec la famille une relation de confiance et participe à créer un environnement d’accueil chaleureux et personnalisé pour chaque enfant. Les formateurs de l’IFMEA ont à cœur de leur apporter toutes les connaissances nécessaires pour qu’ils soient des accompagnants qualifiés.
Quels types de cours ?
Les cours sont dispensés par des formateurs permanents professionnels du secteur de l’enfant, ainsi que par des intervenants extérieurs (psychologues, diététiciens, assistants maternels, instituteurs, etc.). Différentes méthodes et outils pédagogiques sont proposés : travaux de groupe, mise en situation et analyse, travaux pratiques, etc. L’équipe est investie pour apporter à chaque élève le soutien nécessaire à l’apprentissage des connaissances essentielles et des bonnes pratiques professionnelles. Les compétences transmises incluent l’alimentation de l’enfant de 0 à 6 ans, les sciences médico-sociales, les techniques d’entretien des locaux et équipements, la prévention des accidents domestiques, la sécurité et l’environnement de l’enfant, les techniques d’animation, etc.
Pour travailler où ?
Le titulaire du diplôme peut exercer par la suite :
Le profil du candidat
« Cette formation proposée depuis l’an dernier par l’IFMEA reçoit 25 élèves. Notre engagement envers eux est bien réel, nous souhaitons qu’ils deviennent des professionnels de la petite enfance impliqués. Ils auront une responsabilité importante, et nous nous devons d’être à leur écoute toute la durée de la formation. »
-Lysiane Guilloux, Directrice de l’IFMEA
Les modalités de formation
L’institut propose 3 modalités de formation distinctes concernant le CAP AEPE :
Et après ?
Une fois formés et après quelques années sur le terrain, l’IFMEA accueillera à nouveau les professionnels de l’enfance pour les accompagner dans leur évolution de carrière ; les formations d’auxiliaires de puériculture et d’infirmiers.ères puériculteurs.trices sont proposées et peuvent déboucher sur un poste à la fondation Lenval directement.
Les candidats peuvent télécharger leur dossier d’inscription au CAP AEPE en cliquant ici.
Le processus d’inscription
1 – Remplir le dossier d’inscription
2 – Envoi ou dépôt du dossier à l’IFMEA
3 – Réception et vérification des documents
4 – Validation de l’inscription et envoi de la convocation pour un entretien oral de motivation.
Les coûts
– Parcours intégral et apprentissage
Frais de sélection : 50 €
Montant de la formation : 3 830 € (tenue non comprise)
– La VAE
De 410 € à 1 775 €
L’IFMEA en quelques lignes…
L’institut a pour mission de former les futurs professionnels de l’enfance, de la naissance à l’adolescence.
Labellisé depuis 2019, 3 formations diplômantes sont proposées :
Plusieurs types de parcours sont disponibles selon les diplômes : formation continue, en apprentissage, ou par VAE.
L’équipe pédagogique pluridisciplinaire accueille les élèves dans des locaux pensés et aménagés pour un apprentissage innovant.
La salle de simulation en santé, unique dans les Alpes-Maritimes, est équipée de mannequins simulateurs d’enfants et de matériel de haute technologie, permettant une simulation parfaite de différentes situations de soins. L’apprentissage par simulation est une méthode pédagogique active, basée sur l’analyse d’une action de soin et complémentaire des enseignements en travaux pratiques. Salles de cours, informatique, de travaux pratiques, de recherches, de visio-conférence et de restauration viennent compléter l’offre proposée par l’Institut.
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) concernent près d’un million de personnes en France. Plus de la moitié d’entre elles ne sont pas dépistées et n’accèdent pas encore aux soins. A l’occasion de la 6e Journée internationale des TCA, le mercredi 02 juin, les équipes, pédopsychiatres et pédiatres, de l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval alertent les professionnels et les familles.
La prise en soin à Lenval
Le service (SUPEA*) a développé une expertise sur le diagnostic et la prise en charge de l’anorexie, la boulimie et les troubles d’alimentation sélective et/ou d’évitement.
Aujourd’hui des parcours de soins personnalisés aux patients et à leurs familles sont proposés.
« Progressivement, nous avons augmenté la capacité de soins ambulatoires pour qu’ils deviennent plus fréquents et plus précoces afin de diminuer les soins en hospitalisation à temps plein en fréquence et en durée. Cette prise en charge diversifiée et multidisciplinaire permet de proposer une véritable alternative à l’hospitalisation. Elle favorise l’alliance thérapeutique et de ce fait une continuité du soin sur plusieurs mois jusqu’à l’obtention de critères d’amélioration stables. Elle facilite les soins lors des rechutes. » indique le Dr Emmanuelle DOR.
Les prises en charge se veulent hyperspécialisées, innovantes et multidisciplinaires : pédopsychiatres, pédiatres, diététiciennes, médecin nutritionniste, psychologues, psychomotricienne, danse thérapeute… Elles visent à travailler la reprise alimentaire, les relations au corps, aux pairs, aux adultes, aux parents, à la scolarité, à l’orientation…
« Il s’agit de soins individuels ou de groupe, sous forme d’ateliers thérapeutiques olfactifs, gustatifs, créatifs (art-thérapie), corporels (relaxation, psychomotricité), de repas thérapeutiques, de cuisine créative, de groupe de parole. Ces soins sont proposés aux patient(e)s.
Dans ce dispositif, les parents sont accompagnés par des consultations parents, un groupe de parole et un groupe dédié aux mamans avec antécédents personnels de TCA » précise l’équipe.
Les signes d’alerte
Chez les adolescents, une perte de poids de 10% ou plus, des variations brutales de poids et de comportement, une aménorrhée, une préoccupation excessive autour de l’image du corps, de l’alimentation et de la diététique, ainsi qu’une mauvaise estime de soi, doivent être considérés comme des signes d’appel d’un comportement anorexique ou boulimique.
D’autres signes comme les vomissements, le suivi « à la lettre » de régimes avec une perte de poids significative, une activité physique intense, témoignent d’un trouble alimentaire qui s’installe…
Une « perte de l’appétit » se traduit par une lutte active contre la faim et un évitement de tous « les aliments qui font grossir », fréquemment associée à d’autres manifestations qui ont toutes pour but de perdre du poids (hyperactivité physique, vomissements provoqués, utilisation de médicaments, etc…)
Une perturbation de l’image corporelle, dans laquelle la personne ne perçoit plus sa propre maigreur, associée à une obsession du poids et une peur panique de grossir.
Une consultation médicale s’avère nécessaire quand au moins deux réponses positives sont données sur ces 5 questions :
(Version française du questionnaire SCOFF-F)
PROFESSIONNELS ¤
Depuis 4 ans, le SUPEA fait partie de la Fédération Méditerranéenne Anorexie Boulimie (Bouches du Rhône, Var et Alpes Maritimes) affiliée à la FFAB. Ainsi la FMAB propose une visioconférence le mercredi 2/06/2021 pour les professionnels sur le thème :
« TCA Enfant, Adolescent, Jeune Adulte : Quand s’inquiéter ? vers qui orienter ? » + Infos : +33 (0) 4 92 03 03 26
*SUPEA : Service Universitaire de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent
FOCUS MEDICAL
Tous les soins, mis en place par le SUPEA ont été pensés et développés à partir d’une hypothèse originale :
les patient(e)s présenteraient une altération de la dimension hédonique mal intégrée ou effacée au cours de leur développement en lien avec des distorsions des cognitions sensorielles.
Ainsi dans une approche intégrative fondée sur les théories psychodynamiques, l’expérience clinique et l’apport des neurosciences nous avons développé un parcours de soins sensoriels.
Notre dispositif de prise en charge est constitué de différentes modalités de soins complémentaires : l’hospitalisation à temps plein (Unité de 7 lits) et les soins ambulatoires avec des consultations spécialisées, un CATTP (Centre d’Accueil Thérapeutique à Temps Partiel) devenu Hôpital de jour (6 places) et une Equipe mobile TCA.
La fondation Lenval signe une convention de partenariat avec l’association « Les Z’enfants de l’Auto » dans le but d’offrir aux jeunes patients suivis au Centre d’évaluation pédiatrique du psychotraumatisme (CE2P) l’opportunité d’accéder à la formation du permis de conduire.
Le Comité des Dames de Lenval, agissant au nom de la fondation Lenval, a pu mettre en relation l’association « Les Z’enfants de l’Auto » et les équipes soignantes du CE2P. Ce centre est spécialisé dans l’évaluation et la prise en charge du psychotraumatisme en population pédiatrique. Dans le cadre du soin thérapeutique proposé, l’ascension vers l’autonomie des jeunes adultes pris en charge représente très souvent un enjeu majeur.
Quoi de mieux que le permis de conduire pour accéder à cette indépendance ?
Pour pallier l’agoraphobie ou diverses angoisses liées à des traumatismes routiers, le Dr Michèle Battista, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent du CE2P, décrit ce partenariat avec enthousiasme « C’est une chance et une très belle opportunité pour notre équipe. Le permis de conduire va être un outil pour venir aider les patients à acquérir l’autonomie dont ils ont profondément besoin. Nous souhaitons construire ce partenariat dans la durée, car nous sommes convaincus que le « projet individuel de permis de conduire » est un enjeu déterminant pour les jeunes que nous accueillons ».
LE PROJET
L’idée est de pouvoir passer le permis de conduire à distance et sans que ce permis ne vienne alourdir la charge financière des jeunes patients. L’association « Les Z’enfants de l’Auto » (avec le soutien de la Fondation Renault et en partenariat avec Auto-école.net), propose aux jeunes adultes suivis pour des pathologies parfois lourdes et pouvant entraîner un décrochage scolaire et social, un financement à 100% de leur formation au permis de conduire.
« Le but de ce projet est de venir en aide à des jeunes en situation difficile. Dans le cadre de ce partenariat avec la fondation Lenval, nous élargissons notre champ action. Depuis plusieurs années nous sommes en région parisienne notamment partenaires de l’hôpital Necker-Enfants malades. Aujourd’hui être à Nice, c’est accompagner plus de familles et nous en sommes particulièrement heureux.
Les jeunes présentent, pour certains, des pathologies qui rendent l’utilisation des transports en commun difficile ou encore qui appréhendent la conduite suite à un accident de la route. C’est là que nous intervenons, au plus près de ces jeunes. Ils ont besoin de notre coup de pouce à l’allumage ! » explique Guy Jourdan, président de l’association Les Z’enfants de l’Auto.
COMMENT ÇA MARCHE ?
Auto-école.net est une auto-école en ligne permettant d’amener directement aux jeunes une formation à leur rythme et en tenant compte de leur pathologie : ainsi, la préparation à l’examen du code de la route se fait en e-learning avec évaluation permanente de la progression, et la préparation à l’épreuve de conduite avec un véhicule auto-école se fait au départ du lieu choisi par le candidat.
En leur offrant cette opportunité, la fondation Lenval et Les Z’enfants de l’Auto s’associent pour fournir ce sésame, synonyme de liberté, à des jeunes en voie d’insertion dans la vie d’adultes.
+ infos sur l’association : https://www.leszenfantsdelauto.fr/
Le cumul des kilomètres se fait via l’application No Finish Line ou via une montre connectée. À partir du 26 mai 14 heures et jusqu’au 30 mai 16 heures, lorsque vous effectuez votre sortie pour la No Finish Line® Nice :
Pour que vos kilomètres soient pris en compte, vous devez effectuer au minimum 1 km (ce qui correspond à 1 tour de circuit).