Actualités de la Fondation LENVAL

  • Le robot thérapeutique PARO testé pour la première fois au monde en pédiatrie à la Fondation Lenval

    Le 3 novembre la Fondation Lenval a accueilli le Professeur Takanori SHIBATA, chercheur japonais et créateur du robot thérapeutique PARO, à l’occasion du lancement d’un projet de recherche clinique inédit en pédiatrie.Conçu à l’origine pour accompagner les personnes âgées en gériatrie, PARO, le célèbre bébé phoque robotisé doté d’une intelligence a...
  • Un administrateur judiciaire provisoire pour le GCS

    8 mois pour construire un modèle de gestion efficace entre le CHU et Lenval  Par ordonnance de référé du 10 novembre 2025, le Tribunal judiciaire de Nice nomme Maître François-Alexandre Escoffier en qualité d’administrateur judiciaire provisoire du Groupement de Coopération Sanitaire (GCS). Le GCS de moyens, visé par cette décision, est la structur...


Le 3 novembre la Fondation Lenval a accueilli le Professeur Takanori SHIBATA, chercheur japonais et créateur du robot thérapeutique PARO, à l’occasion du lancement d’un projet de recherche clinique inédit en pédiatrie.
Conçu à l’origine pour accompagner les personnes âgées en gériatrie, PARO, le célèbre bébé phoque robotisé doté d’une intelligence artificielle bienveillante, s’apprête à vivre une nouvelle étape de son histoire : son utilisation est désormais étudiée auprès d’enfants hospitalisés.

L’étude, menée par l’équipe médicale des urgences pédiatriques de Lenval en collaboration avec plusieurs centres en France, vise à évaluer l’efficacité de PARO pour apaiser la douleur et l’anxiété des enfants lors de soins impliquant une aiguille, notamment la pose de voies veineuses périphériques. L’étude est conduite dans les services d’urgences pédiatriques et de médecine pédiatrique de cinq centres en France (l’Hôpital Pédiatrique Universitaire Lenval, le CHU L’Archet à Nice, les CH de Grasse, Brest et Toulouse). Un total de 120 patients, des enfants âgés de 12 mois à 7 ans, est prévu pour participer à cette étude sur une année, analyses comprises.

L’objectif principal de cette étude est de comparer l’efficacité du robot Paro, associé au traitement standard, versus la prise en charge habituelle sur le contrôle de la douleur chez le nourrisson et l’enfant lors d’une effraction cutanée liée à une aiguille (pose de voie veineuse périphérique). Les objectifs secondaires de cette étude sont de comparer entre les deux groupes :
● La détresse des enfants lors du geste
 Les variations de la fréquence cardiaque pendant le geste
 Le nombre de tentatives nécessaires avant d’obtenir un accès veineux (maximum 3 tentatives)
 L’anxiété des parents lors du geste chez l’enfant
 Le taux d’échec de mise en place de la voie veineuse périphérique

Sont également évaluées, la satisfaction des parents concernant l’utilisation de Paro et celle de l’équipe paramédicale quant à son usage en pratique courante.

Cette initiative innovante, à la croisée de la science, de la technologie et de l’humanisme, positionne la Fondation Lenval comme un acteur pionnier de la recherche pédiatrique internationale

« La visite du Professeur SHIBATA à Nice marque une étape majeure pour la recherche pédiatrique. Nous sommes fiers d’ouvrir la voie à une nouvelle forme d’accompagnement émotionnel de l’enfant à l’hôpital », souligne le Dr Barbara LE GALLO, pédiatre aux urgences pédiatriques de Lenval.

L’équipe projet est composée du Dr Jennifer Battista en Néphrologie pédiatrique, Dr Barbara Le Gallo pédiatre aux urgences de Lenval, Dr Antoine Tran pédiatre aux urgences de Lenval et de Camille Montaland, interne en pédiatrie à Lenval.

 En savoir plus sur PARO

PARO est un robot émotionnel d’assistance thérapeutique ayant fait l’objet de 10 années de recherche et développement au Japon, appuyées par de nombreuses études de validation clinique. Unique en son genre par sa conception, son ergonomie, son poids et ses traits apaisants, il vise à offrir aux professionnels de santé un outil simple d’utilisation et de haute technologie permettant de véhiculer les bénéfices de la thérapie animalière auprès de personnes atteintes de troubles du comportement et de la communication (Malades Alzheimer et troubles apparentés), ou bien de déficiences motrices et sensorielles, en procurant à ces personnes une amélioration de leur bien-être et de leur qualité de vie dans un cadre non médicamenteux.
Plus d’informations sur https://www.phoque-paro.fr/

 

8 mois pour construire un modèle de gestion efficace entre le CHU et Lenval

 Par ordonnance de référé du 10 novembre 2025, le Tribunal judiciaire de Nice nomme Maître François-Alexandre Escoffier en qualité d’administrateur judiciaire provisoire du Groupement de Coopération Sanitaire (GCS). Le GCS de moyens, visé par cette décision, est la structure administrative établie en 2013 afin d’organiser la seule mise à disposition des personnels du CHU de Nice au sein de l’ESPIC HPNCL, établissement de la Fondation Lenval. Ce CGS ne porte pas l’offre de soins pédiatriques.

La Fondation Lenval n’a cessé d’œuvrer en faveur d’une solution consensuelle et appelait de ses vœux à la désignation d’un conciliateur chargé de trouver une solution à une situation de blocage liée notamment à l’absence de définition d’un budget prévisionnel annuel préalable et au dysfonctionnement majeur rencontré par le GCS. La Fondation Lenval relève également que le tribunal a rejeté la demande du CHU de Nice visant à organiser la modification les règles d’administration du GCS et rappelle que l’administrateur est élu « parmi les membres du groupement ».

La gouvernance de la Fondation Lenval accueille donc favorablement et avec espoir cette décision qui va permettre d’aboutir à un fonctionnement efficace du GCS : “Nous sommes prêts à travailler avec l’administrateur judiciaire provisoire nommé afin de construire un modèle de gestion sain et conforme aux objectifs statutaires du GCS. Nous espérons qu’il pourra être le facilitateur d’une solution médiative efficiente.”

Avec détermination, les bénévoles de l’association Mission ZANAKA soulèvent des montagnes et l’océan pour apporter leur aide à Soafaly. Une aventure humaine et solidaire à laquelle chacun est aujourd’hui appelé à contribuer. Sa maladie est rarissime et l’aide humanitaire pouvait lui sauver la vie, alors les bénévoles n’ont rien lâché pour accompagner cet enfant. L’aide financière demeure une priorité.

Soafaly a 7 ans, il vit à Madagascar quand le Dr Anna Mazuy, dermatologue, bénévole en mission humanitaire avec l’association ZANAKA dirigée par Patrick Maupetit fait sa rencontre en novembre 2024, « Je l’ai rencontré, dans une ville au nord-ouest de l’île, Majunga, c’est un enfant très joyeux, mais son visage montrait une déformation faciale, une tumeur orbitaire volumineuse. J’ai voulu en savoir plus » c’est ainsi que tout a commencé raconte la dermatologue.

Cette tumeur s’est avérée être un cas rarissime de tumeur orbitaire d’évolution locale mais de forme extrêmement agressive qui se développait au niveau de son œil gauche. Il souffrait de maux de tête intenses, de perte totale de la vision de l’œil alors que son sourire et sa joie de vivre forçaient l’admiration des membres de l’association. Son pronostic vital était fortement engagé, avec la perspective d’une méningite foudroyante pouvant survenir à tout moment, la tumeur ayant envahi les sinus de la face.

En 2024, les bénévoles de la Mission ZANAKA ont offert dans la région de Majunga environ 1 000 consultations médicales et 1 200 consultations dentaires tout en formant une trentaine d’étudiants malgaches en dentaire et en médecine. Et puis, la situation particulière de Soafaly est aussi devenue une priorité impliquant tous ceux qui allaient croiser le chemin du Dr Anna Mazuy et de Patrick Maupetit, à Madagascar et en France. Les analyses d’anatomopathologie laissant espérer une chance de traiter chirurgicalement la tumeur, alors que le pronostic vital de l’enfant était engagé à moyen terme, il était urgent d’agir. Les médecins malgaches ne disposaient pas des équipements nécessaires, et la seule chance de Soafaly résidait dans une prise en charge spécialisée.

Une intervention chirurgicale à Nice est alors imaginée.

Les équipes médicales du CHU de Nice et de la Fondation LENVAL collaborent et déterminent le protocole extra-ordinaire médical et opératoire de ce jeune patient : le bilan préalable d’extension de la tumeur avec le recours au centre d’imagerie de LENVAL (IRM, Scanner, doppler), une chirurgie de haute précision pour retirer la tumeur, un accompagnement par les pédiatres pour son suivi général, par une pédopsychiatre…

Devant la perspective des nombreuses démarches administratives (demandes de passeport et de Visa, autorisations parentales, organisation du transport et du séjour) à conjuguer avec le calendrier médical ; il ne fallait pas perdre de temps. L’association ZANAKA a même engagé sur place à Majunga une enseignante à domicile, qui a commencé à apprendre à Soafaly le français, la lecture et l’écriture, quatre mois avant son arrivée en France. Des mois durant lesquels, il a redoublé d’efforts pour préparer son voyage et faire face à la maladie. Il faut savoir que Soafaly n’avait pas pu aller à l’école, malgré sa grande intelligence et le désir de ses parents, car victime de harcèlement scolaire. 

Arrivé à Nice le 30 août dernier, les équipes de bénévoles, auxquelles s’est associé l’animateur de télévision Julien LEPERS, rencontrent un jeune garçon enthousiaste, plein d’appétit de vivre, et au courage certain face à tous ces nouveaux visages présents pour l’accompagner au cours de semaines qui s’annonçaient difficiles.

Le Dr Arnaud MARTEL chirurgien orbitaire, Maître de conférences et Praticien hospitalier au CHU de NICE a pu extraire la tumeur mi-septembre au bloc opératoire de Lenval accompagné par le Dr Ryad ADRAR, ophtalmologue spécialisé en pédiatrie à Lenval. Dans la foulée, les analyses ont apporté de bonnes nouvelles, l’exérèse de la tumeur était complète. Malgré des complications infectieuses qui ont émaillé les suites opératoires, le Dr Martel a pu rassurer les équipes médicales et tous les bénévoles impliqués dans le projet :   L’infection post opératoire semble désormais bien stabilisée grâce aux antibiotiques et aux lavages chirurgicaux et Soafaly se porte bien sur le plan général. La prise en charge pluridisciplinaire de Soafaly à Lenval est admirable. J’ai eu plaisir à collaborer avec tous les équipes du bloc opératoire pédiatrique de Lenval, les anesthésistes, mais aussi à échanger avec les Dr Bailleux, chirurgien ORL, le Dr Chivoret et le  Dr Nestler neurochirurgiens, le Dr Adrar ophtalmologue et aussi le Dr Camuzard en chirurgie plastique  et le Dr Leccia notre anapath. Nous avons tous pris du temps pour cette prise en charge extra-ordinaire. »

Les équipes médicales de la Fondation Lenval et le CHU de NICE ont collaboré à la réussite de cette mission humanitaire, les spécialités apportant chacune leur expertise pour une prise en charge individualisée du jeune Soafaly qui a reçu au sein de Lenval une attention particulière de chacun. A sa prise en charge, se sont ajoutées les visites des Clowns à l’hôpital, des Blouses Roses ou encore du Pirate Blanc et même de l’unité d’enseignement offrant des instants ludiques et thérapeutiques à ce petit protégé. Son sourire a marqué profondément les équipes heureuses de s’être investies dans cette mission de santé humanitaire. 

Les conditions de sa vie à Madagascar nécessitent une bonne cicatrisation avant d’envisager son retour dans sa famille, il sera pris en charge au moins jusqu’à la fin de l’année par les familles de bénévoles de la diaspora malagasy de la Côte d’Azur et par des familles françaises impliquées dans l’humanitaire. Le Dr Anna Mazuy l’a accueilli chez elle à son arrivée, et à sa sortie d’hôpital, attendant que les risques s’écartent et que la cicatrisation soit engagée, et continue de le suivre avec des consultations régulières auprès du Dr Martel. Les bénévoles de la diaspora franco-malagasy de la Côte d’Azur, dont l’association AMC06 et avec la mobilisation des associations locales (CCMCA Nice, FPMA Nice, Adventiste Nice), le groupe du corps médical franco-malagasy (infirmiers et aides-soignants), des bénévoles d’Aviation Sans Frontières et des amis de tous ces bénévoles se relaient pour l’héberger, lui faire découvrir la Côte d’Azur, l’accompagner aux différents rendez-vous médicaux. Sa famille, restée à Madagascar, est équipée pour que tous les jours des appels en visio soient réalisés et maintiennent ainsi le lien indispensable à cet enfant.

« Sur le plan financier, les besoins et le frais engagés sont importants, près de 40 000€. La solide chaine de solidarité a permis de réduire les frais mais il y a des coûts incompressibles et les missions de ZANAKA risquent d’être empêchés dans les prochains mois si des fonds ne sont pas trouvés rapidement. Les bénévoles ont réalisé des avances importantes sur leurs fonds propres, la fondation GENOYER a apporté une importante contribution, le Lions Club et le Rotary sont également mobilisés, mais il nous faut encore 20 000 euros » précise le Président de Mission ZANAKA Patrick Maupetit.

 L’association ZANAKA a ouvert une cagnotte  en ligne : https://www.lepotcommun.fr/pot/wpi4y0va,

Actualité en retrouver en version pdf.

Les donateurs se mobilisent et c’est précieux, rejoindre la chaine de solidarité demeure nécessaire. Un Grand MERCI

  • ZANAKA, association Loi 1901 basée en Occitanie, organise une mission médicale annuelle à MADAGASCAR, basée sur des principes solidaires et humanitaires. Les soins sont gratuits pour tous et les bénévoles français et malgaches donnent leur temps et financent leur voyage. Les échanges techniques entre les soignants bénéficient aussi aux étudiants en dernière année d’études dentaires et de médecine sur l’île. Chaque mission humanitaire mobilise une trentaine de professionnels bénévoles (dentistes, médecins, dermatologue, pharmacienne, infirmière, assistants de la faculté de médecine… et une équipe logistique).
  • AMC06, association à but socio-culturel, sportif et entraide, a pour vocation de réunir la diaspora Malagasy de la Côte d’Azur et ceux qui ont Madagascar dans le cœur.
  •  Aviation Sans frontière, depuis 1980, Aviation Sans Frontières crée des ponts aériens au service de l’humanitaire. Grâce à l’intervention de 800 bénévoles, l’ONG apporte un soutien aérien à près d’un millier d’acteurs humanitaires et sociaux. L’accompagnement d’enfants malades, souffrant de pathologies graves, pouvant bénéficier, dans des hôpitaux européens, d’interventions chirurgicales encore impossibles à réaliser dans leur pays fait partie des missions principales de l’organisation.
  • La Fondation GENOYER, créée par Maurice et Ute GENOYER a en priorité, pendant de nombreuses années, financé des actions initiées et réalisées par l’association “Enfants du Monde“, notamment dans le Sud-Est Asiatique, au Cambodge, aux Philippines, à Cuba, à Madagascar, en Afrique, au Maghreb et en Roumanie et a participé au financement d’opérations d’enfants atteints de malformations cardiaques et des suites de la maladie du Noma. Enfin, elle s’attache, d’une façon générale à faire respecter les principes de la déclaration des Droits de l’Enfant. 

 Avec fidélité les membres du Rotary Club Nice Riviera Côte d’Azur, sont venus à Lenval, accompagnés des membres de l’association marseillaise « Le Blé de l’espérance » découvrir l’investissement réalisé cette année grâce à leur action : 62 fenêtres vers le ciel ! 

 La vente des sachets de blé aura permis la réalisation, en 2025, d’un projet d’envergure. 10 500 euros, une collecte record pour ces bénévoles engagés. Ils mobilisent les commerçants azuréens pour que les sachets de blé soient mis à la vente. C’est ainsi que tout un chacun, qui plante son blé, participe au bien-être des protégés de la Fondation Lenval.   

Cette année, le projet n’était pas pour un service, une pathologie, ou un établissement, il a été décidé d’améliorer 24 espaces, des lieux de soin, des lieux de vie, sans fenêtre extérieure. Ces espaces sont situés dans les unités d’hospitalisation, ou dans les espaces de consultation les jeunes patients y sont accueillis, pour être mis sous perfusion, changer un pansement, recevoir un traitement, la pose d’un plâtre…. « Bénéficier de ces dalles lumineuses, sous variateur, dans notre espace de travail, c’est vraiment bien. On peut proposer à l’enfant ou l’adolescent de regarder, alors qu’il est allongé sur le brancard, les cerisiers en fleurs, la montgolfière ou les colombes. On peut lui raconter une histoire à partir de cette fenêtre et susciter son imaginaire. C’est une aide pour notre travail, un dérivatif qui nous permet de nous concentrer sur l’acte tout en permettant au jeune patient d’être dans une situation de confort amélioré. » a expliqué l’une des infirmières rencontrée lors de la visite des membres des associations.

Pour la directrice, Céline Metge et la directrice des soins, Angélique Bayer, présentes pour remercier les donateurs ,c’est un projet essentiel. « Les équipes ont choisi, sur catalogue, leur visuel au début de l’été. Nous voilà à la rentrée et c’est en place. Les équipes techniques de Lenval ont été à pied d’œuvre pour installer ces points de lumière et nous sommes très heureuses de pouvoir ainsi compter sur les clubs services azuréens qui aux côtés de Lenval permettent d’agir très concrètement. L’innovation technologique et médicale, les activités de médiation thérapeutique, la recherche pédiatrique et aussi ces investissements qui allient le confort et la prise en soin sont nécessaires. La fidélité des donateurs nous est précieuse. »  

UNE TRADITION PROVENCALE AU CŒUR DU PROJET

Il est de coutume en Provence, de semer quelques grains de blé dans une coupelle en vue de les faire germer au fil des jours, pour former le soir de Noël, l’ornement floral de la Crèche ou de la table, avec en toile de fond l’adage « Blé Bien Germé, Prospérité Toute l’Année »(1).

Dans les Alpes-Maritimes, les bénévoles du Rotary Club Nice Riviera Côte d’Azur, sont les porteurs de l’association régionale du Blé de l’espérance. Ils mobilisent les commerçants, boulangers, pharmaciens, traiteurs et autres du département et plus particulièrement de Nice. Ils leurs confient des boites en carton remplies de petits sachets de blé et récupèrent en retour les dons réalisés par la clientèle de ces commerces (2€ le sachet).

La directrice du mécénat, des partenariats et de la communication de Lenval, Raphaëlle Galante, présente chaque année, aux bénévoles investis des projets pour améliorer la vie à l’hôpital des petits patients. C’est ainsi qu’au fil du temps des investissements essentiels, originaux, devant servir au plus grand nombre, sont réalisés.

LES PROJETS DEJA FINANCES 

En 2024, l’aménagement de l’Unité d’Accueil Pédiatrique Enfants en Danger pour un montant de 6 214 euros.

En 2023, l’acquisition de coussins à billes pour le service de réanimation et l’achat d’équipements sportifs pour les patients pris en soin au service de kinésithérapie de l’hôpital à hauteur de 4 700 €.

En 2022, des couvertures multi-sensorielles thérapeutiques, elles apaisent ou stimulent en état d’anxiété, d’agitation, de dépression, d’apathie… un investissement de 7 000 euros.

En 2021, des jardinières modulables ont pu être installées à hauteur de 5.200 €.

En 2020, des tables digitales et ludiques pour des salles d’attente notamment au sein du service de chirurgie ambulatoire à hauteur de 7 000 euros. 

Ensemble, soyez fiers des projets réalisés pour l’enfance !

Le 4 décembre, jour de la Sainte Barbe, il est de tradition provençale de semer quelques grains de blé dans une coupelle sur un lit de coton humidifié. Soigneusement irrigués, les grains vont germer au fil des jours, pour former le soir de Noël, un élément traditionnel des décorations. Réminiscence des moissons, cette légende héritée de la Rome et la Grèce antiques, s’est peu à peu installée pour embellir nos décors de fête avec cet adage : « Blé Bien Germé, Prospérité Toute l’Année ».

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