Actualités de la Fondation LENVAL

La fondation Lenval est le gestionnaire privé solidaire de 8 établissements, répartis sur 20 sites géographiques.
Parmi eux :
• L’Institut de Formation aux Métiers de l’Enfance et de l’Adolescence (IFMEA)
• L’Institut Médico-Éducatif (IME) « Bariquand Alphand »
Ces deux établissements sont habilités à recevoir 13% de la taxe d’apprentissage des entreprises.
Qu’est-ce que c’est ?
La taxe d’apprentissage est un impôt versé par les entreprises, destiné à financer le développement des formations en apprentissage et la formation initiale.
Pour 13% de cet impôt, les entreprises peuvent décider de les attribuer à l’établissement de formation de leur choix.
 
  • ZOOM sur l’IFMEA : Chaque année, plus de 200 élèves sont formés aux métiers de l’enfance et de l’adolescence. Les diplômes d’État d’auxiliaire de puériculture, de puériculteur/rice, le CAP AEPE et des formations continues sont proposés. L’institut est équipé d’une salle de simulation en santé riche en mannequins d’enfants et matériels de haute technologie pour un apprentissage de grande qualité.
  • ZOOM sur Bariquand Alphand : C’est à Menton, dans un parc arboré de plus de 4 hectares, que 80 enfants âgés de 6 à 20 ans en situation de handicap psychique ou d’autisme sont accompagnés en internat ou semi-internat. à l’adolescence, ces jeunes sont également formés par les équipes afin de favoriser leur insertion dans une vie sociale à l’âge adulte. 
 
 

👉 Depuis jeudi dernier, à l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval, se tiennent les premières sessions de vaccination contre la COVID-19.

Le personnel hospitalier de plus de 50 ans ou considéré comme à risque se présente sur base de volontariat. 

Retour en images sur Facebook 🙂 

 

Les membres du conseil d’administration de l’association des amis de Lenval sont heureux de présenter à l’occasion de ce début d’année leur nouveau président et les objectifs.

Frédéric Jourdan-Gassin, niçois, après une longue activité dans la vie économique locale, notamment dans le cabinet familial d’assurance, saisit aujourd’hui l’occasion de rejoindre les Amis de Lenval. Il prend la relève de Pierre-Alain REVELAT qui demeure membre du bureau.

Si la cause des enfants est à l’origine de son investissement de cœur, ce sont bien ses qualités humaines et professionnelles qui conduisent les objectifs définis avec le conseil d’administration. Ainsi 2021, sera l’occasion pour les membres de l’association de s’investir au développement de la fondation Lenval. Prioritairement la volonté est d’accueillir de nouveaux membres. Une cotisation symbolique annuelle fixée à 30 euros et la cooptation d’un membre sont les clés de l’ouverture à l’association. Ainsi les membres escomptent enrichir le nombre de prescripteurs pour faire connaître la diversité des activités de la fondation Lenval au profit de l’enfance. Sur 17 sites de Menton à Cagnes-sur-Mer, les sept établissements de la fondation Lenval dont l’hôpital universitaire pédiatrique ont besoin du soutien des azuréens particuliers comme professionnels.

Deux actions seront rapidement engagées par les membres de l’association : 

– La possibilité pour les commerçants de soutenir la fondation avec un outil simple et efficace d’arrondi en caisse.

– le partage avec les notaires et professionnels locaux des avantages financiers des dons et legs auprès d’une fondation reconnue d’utilité publique.

 

Contact et information :

Le conseil d’administration est composé ainsi : Frédéric Jourdan Gassin, président | Laure Carladous, vice-présidente | Pierre-Alain Revelat, trésorier | Julien Riera, secrétaire | Louis Capecci | Dominique de Ricaud | Héléne Garence | Nicole Lebris | Benjamin Mondou

Mail : amisdelenval@gmail.com

 

Contact médias pour mise en relation, Raphaëlle Galante, directrice du développement et de la communication de la fondation Lenval | Tél. : 04 92 03 08 23 / 06 86 76 31 03 – raphaelle.galante@lenval.com

FEHAP-pouponniere

Ils sont psychologues, auxiliaires de puériculture, médecins, salariés des centres de santé, infirmiers, professionnels de la protection de l’enfance, psychomotriciens… et pourtant ils n’ont pas tous accès aux mesures du Ségur de la santé.

Au cœur de leurs métiers : la santé de 0 à 18 ans, la protection de l’enfance, les handicaps, l’autisme, la formation des professionnels de santé aux métiers de l’enfance et de l’adolescence… La fondation Lenval est le gestionnaire privé solidaire de 8 établissements pédiatriques répartis sur 17 sites azuréens. Elle rassemble 1297 professionnels (en CDI). L’objectif partagé par ses administrateurs, dirigeants et fondateurs est la transmission d’une pédiatrie en bonne santé.

Aujourd’hui, l’inquiétude et l’incertitude mobilisent.

  • La catégorisation de l’établissement dans lequel les professionnels exercent leur activité ouvrent ou non le droit à la revalorisation salariale du Ségur de la santé. Aujourd’hui les secteurs du médico-social et du social sont exclus, et pourtant on y retrouve les mêmes métiers, ils représentent 2% des personnels de la fondation Lenval.

 

  • Les médecins de l’ESPIC, l’hôpital universitaire pédiatrique Lenval, salariés de la fondation Lenval, soit 41 % des médecins, sont exclus des dispositions. Cela entraine dans la gestion des carrières comme dans l’attractivité des établissements une nouvelle inégalité que les gestionnaires privés solidaires ne peuvent compenser.

 

  • Parallèlement, pour les personnels de santé qui bénéficient dès aujourd’hui des revalorisations, l’inquiétude est également forte. En effet, les modalités de ressources financières qui permettraient de garantir, sereinement et dans le temps, ces revalorisations reposent sur une évolution des tarifs. Il s’agit d’un nouveau risque économique fort.

Cette différence de traitement et les incertitudes mobilisent la direction générale de la fondation Lenval, depuis plusieurs semaines.

La pédiatrie azuréenne à Lenval, c’est une gestion privée solidaire, un modèle unique, historique. La solidarité est la valeur qui a bâti ce modèle et permis son essor.

Il est nécessaire d’unir les forces auprès des instances nationales pour assurer, d’une part, une égalité envers les personnels et les établissements et, d’autre part, pour garantir les dispositifs de ressources qui permettront de tenir ces engagements financiers.

« Les personnels de santé, toutes catégories confondues, dans les organisations hospitalières, médico-sociales ou sociales subissent des barèmes qui entrainent des salaires peu élevés. Le Segur de la santé, à juste titre, prévoit une revalorisation historique dans la santé.  Pour des établissements comme les nôtres, et particulièrement dans nos secteurs médico-sociaux et sociaux, rien n’est assuré. Nous sommes donc inquiets et mobilisés au plus haut niveau aux côtés de la FEHAP(1), notre fédération. » indique Philippe Pradal, Président de la fondation Lenval. Dans un récent courrier, au Président du Département des Alpes-Maritimes, Philippe Pradal a tenu à l’informer des difficultés rencontrées notamment à la pouponnière, la petite enfance étant une compétence départementale déléguée à la fondation Lenval.

Arnaud Pouillart, directeur général de la fondation, est également délégué départemental de la FEHAP.  « Le 6 novembre la FEHAP et NEXEM ont saisi le Premier ministre pour dénoncer l’exclusion des revalorisations salariales des professionnels du handicap, de la protection de l’enfance, de l’insertion… Cette différence de traitement crée une fracture au sein des établissements, elle s’ajoute à nos difficultés de recrutement, elle n’est pas fondée. »

Les personnels se sont également mobilisés. Des photos illustrant leur colère ont pu être diffusées via la page de la fondation Lenval du réseau social professionnel Linkedin s’associant ainsi à la campagne nationale initiée par la FEHAP. A leur initiative, une pétition en ligne a également rassemblé près de 1000 signataires. 

(1) Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs.

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